Avec la signature d'un partenariat avec l'américain Léviton, le groupe français veut devenir leader du marché voix-données-images.
C'est sans doute le marché du secteur électrique qui a le plus d'avenir. Le voix-données-images (VDI) consiste, en substance, à transformer un logement en surface de connexion généralisée et interchangeable. L'Internet, l'Intranet seront partout et nulle part, cachés et accessible. C'est la " maison intelligente ", sur laquelle tout le monde pari, depuis Bouygues Habitat, pionnier en la matière, jusqu'au CSTB.
" Ces dernières années, la multiplication des technologies d'infrastructures de communication par câble et sans fil a débouché sur une offre pléthorique de produits de transmission de la voix-données-images qui ne s'intègre pas toujours aisément dans une offre d'infrastructure simple à utiliser et à gérer ", explique ainsi Bernard Quancard, directeur du développement VDIde Schneider Electric, dans un communiqué.
Aussi, l'objectif du groupe est de proposer " des systèmes de communication VDI plus simples et plus économiques ". Sachant que, " si l'on s'affranchit de la nécessité d'installer un câblage l'adaptation aux résidences existantes d'une infrastructure multimédia rationnelle devient beaucoup plus économique ".
L'accord de partenariat technologique signé avec le leader nord-américain de composants et systèmes d'installation électriques et électroniques, doit permettre la mise en place d'une équipe commune. Elle aura en charge le développement des systèmes prototypes dès le premier semestre 2003.
Cet accord marque la volonté du groupe, désormais libéré de la pression de Legrand, " d'être un acteur majeur sur le principal marché mondial de la VDI ", c'est-à-dire les Etats-Unis.
" Ces dernières années, la multiplication des technologies d'infrastructures de communication par câble et sans fil a débouché sur une offre pléthorique de produits de transmission de la voix-données-images qui ne s'intègre pas toujours aisément dans une offre d'infrastructure simple à utiliser et à gérer ", explique ainsi Bernard Quancard, directeur du développement VDIde Schneider Electric, dans un communiqué.
Aussi, l'objectif du groupe est de proposer " des systèmes de communication VDI plus simples et plus économiques ". Sachant que, " si l'on s'affranchit de la nécessité d'installer un câblage l'adaptation aux résidences existantes d'une infrastructure multimédia rationnelle devient beaucoup plus économique ".
L'accord de partenariat technologique signé avec le leader nord-américain de composants et systèmes d'installation électriques et électroniques, doit permettre la mise en place d'une équipe commune. Elle aura en charge le développement des systèmes prototypes dès le premier semestre 2003.
Cet accord marque la volonté du groupe, désormais libéré de la pression de Legrand, " d'être un acteur majeur sur le principal marché mondial de la VDI ", c'est-à-dire les Etats-Unis.