Le groupe français d'appareillage électrique Schneider Electric a mis en place sa nouvelle organisation de direction. Avec notamment un comité exécutif renouvelé, celle-ci devrait permettre " d'accroître la capacité de réactivité dans une conjoncture économique difficile".
Sa mise en place avait été approuvée par les administrateurs le 19 septembre, une semaine après que la Commission européenne eut bloqué le projet de fusion entre Schneider et son concurrent français Legrand.
Cette nouvelle organisation, notamment un comité exécutif renouvelé, doit "renforcer la mobilisation de l'entreprise sur la poursuite de sa stratégie de développement" et doit "accroître sa capacité de réactivité dans une conjoncture économique difficile", a indiqué Schneider Electric en précisant qu'elle sera "opérationnelle le 1er décembre".
L'organisation générale de Schneider repose désormais sur trois divisions opérationnelles, deux directions centrales, deux directions fonctionnelles et une direction de projets. Les huit directeurs généraux sont membres du comité exécutif et sont rattachés directement au Pdg, Henri Lachmann.
"Grâce à cette nouvelle organisation plus axée vers le client, Schneider Electric pourra poursuivre sa stratégie de croissance en continuant à se développer dans les activités de basse tension, d'automatismes industriels, de contrôle du bâtiment et de domotique. Nous nous donnons ainsi tous les moyens de rebondir", a déclaré M. Lachmann, cité dans le communiqué.
Le comité exécutif, y compris son président, M. Lachmann, est composé de neuf membres, dont Antoine Giscard d'Estaing qui conserve ses fonctions de directeur de la finance et du contrôle de gestion. Jean-Paul Jacamon, ancien vice-Pdg de Schneider, ne fait pas partie du comité.
Concernant la couverture géographique des activités, "la division France est intégrée à la division Europe pour mieux répondre aux besoins des clients", a notamment expliqué le groupe.
Trois divisions opérationnelles ont été définies: une division Europe (49% du chiffre d'affaires consolidé 2000), une division Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada et Mexique, 28% du c.a.) et une division Internationale (Afrique, Amérique du Sud, Asie, Australie, 13% du c.a.).
Schneider a par ailleurs confirmé la nomination de Jean-Paul Saas comme chef de projets pour mener à bien la sortie de Schneider du capital de Legrand. Depuis fin juillet, Schneider possède 98% du capital de Legrand. En opposant son veto à leur fusion, Bruxelles a demandé aux deux groupes de dénouer leurs liens capitalistiques.
Outre le dossier Legrand, M. Saas prend la tête de la direction de projets, où il aura en charge les projets d'acquisition, leur suivi et l'intégration de la filiale scandinave Lexel (basse tension ultra-terminale).
Cette nouvelle organisation, notamment un comité exécutif renouvelé, doit "renforcer la mobilisation de l'entreprise sur la poursuite de sa stratégie de développement" et doit "accroître sa capacité de réactivité dans une conjoncture économique difficile", a indiqué Schneider Electric en précisant qu'elle sera "opérationnelle le 1er décembre".
L'organisation générale de Schneider repose désormais sur trois divisions opérationnelles, deux directions centrales, deux directions fonctionnelles et une direction de projets. Les huit directeurs généraux sont membres du comité exécutif et sont rattachés directement au Pdg, Henri Lachmann.
"Grâce à cette nouvelle organisation plus axée vers le client, Schneider Electric pourra poursuivre sa stratégie de croissance en continuant à se développer dans les activités de basse tension, d'automatismes industriels, de contrôle du bâtiment et de domotique. Nous nous donnons ainsi tous les moyens de rebondir", a déclaré M. Lachmann, cité dans le communiqué.
Le comité exécutif, y compris son président, M. Lachmann, est composé de neuf membres, dont Antoine Giscard d'Estaing qui conserve ses fonctions de directeur de la finance et du contrôle de gestion. Jean-Paul Jacamon, ancien vice-Pdg de Schneider, ne fait pas partie du comité.
Concernant la couverture géographique des activités, "la division France est intégrée à la division Europe pour mieux répondre aux besoins des clients", a notamment expliqué le groupe.
Trois divisions opérationnelles ont été définies: une division Europe (49% du chiffre d'affaires consolidé 2000), une division Amérique du Nord (Etats-Unis, Canada et Mexique, 28% du c.a.) et une division Internationale (Afrique, Amérique du Sud, Asie, Australie, 13% du c.a.).
Schneider a par ailleurs confirmé la nomination de Jean-Paul Saas comme chef de projets pour mener à bien la sortie de Schneider du capital de Legrand. Depuis fin juillet, Schneider possède 98% du capital de Legrand. En opposant son veto à leur fusion, Bruxelles a demandé aux deux groupes de dénouer leurs liens capitalistiques.
Outre le dossier Legrand, M. Saas prend la tête de la direction de projets, où il aura en charge les projets d'acquisition, leur suivi et l'intégration de la filiale scandinave Lexel (basse tension ultra-terminale).