La CGT de la société d'ascenseurs Schindler, qui avait appelé les techniciens et dépanneurs à la grève mardi pour demander des hausses de rémunérations, a appelé mercredi à une nouvelle grève vendredi, le jour où des négociations salariales doivent reprendre.
«La direction propose de reprendre les négociations vendredi», indique la CGT dans un communiqué, appelant à la grève «pour appuyer les négociateurs». L'appel à la grève mardi, jour de l'ouverture des négociations salariales, avait été, selon la CGT, «très suivi» dans les grandes villes (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Lille et Toulouse), où «de nombreux dépannages» n'étaient pas assurés. Les urgences (désincarcération des personnes bloquées) étaient en revanche assurées dans les délais, avait indiqué la direction.
Mardi, la direction avait proposé «1,7% d'augmentation générale» des salaires et «1,1% d'augmentation individuelle au mérite», alors que la CGT revendique «2,5% d'augmentation générale avec une somme fixe pour favoriser les bas salaires», explique le syndicat. «Grâce à la mobilisation nous avons obtenu le doublement des augmentations générales», a affirmé la CGT.
Le fabricant d'ascenseurs suisse Schindler emploie environ 2.300 salariés en France dont 1.200 techniciens et dépanneurs.
Mardi, la direction avait proposé «1,7% d'augmentation générale» des salaires et «1,1% d'augmentation individuelle au mérite», alors que la CGT revendique «2,5% d'augmentation générale avec une somme fixe pour favoriser les bas salaires», explique le syndicat. «Grâce à la mobilisation nous avons obtenu le doublement des augmentations générales», a affirmé la CGT.
Le fabricant d'ascenseurs suisse Schindler emploie environ 2.300 salariés en France dont 1.200 techniciens et dépanneurs.