Quatre sans-papiers étaient toujours perchés, mercredi midi, sur une grue et plusieurs toits du chantier du casino, place de Brouckère, à Bruxelles. Egalement en grève de la faim, ils espèrent obtenir leur régularisation.
Quatre personnes, la première montée sur une grue et les trois autres sur un toit du chantier du casino, place de Brouckère, à Bruxelles refusent toujours de redescendre. Mais le mouvement faiblit. Par crainte d’être expulsée, la trentaine de sans-papiers encore présente la nuit dernière et qui avait occupé jusqu’à six grues de la capitale belge, notamment place Schuman et au Palais des Beaux-Arts, mardi, est redescendue.
Mercredi, les pompiers et la police de Bruxelles ont déployé un important réseau de sauvetage pour venir en aide à ces derniers sans-papiers, particulièrement affaiblis par leurs grèves de la faim et de la soif. Le commandant des pompiers, Tanguy du Bus de Warnaffe, a par ailleurs affirmé qu’il n’userait en aucun cas de la force : «Nous sommes ici uniquement pour accompagner les gens qui veulent descendre. Nous n’y obligeons personne».
Mercredi, les pompiers et la police de Bruxelles ont déployé un important réseau de sauvetage pour venir en aide à ces derniers sans-papiers, particulièrement affaiblis par leurs grèves de la faim et de la soif. Le commandant des pompiers, Tanguy du Bus de Warnaffe, a par ailleurs affirmé qu’il n’userait en aucun cas de la force : «Nous sommes ici uniquement pour accompagner les gens qui veulent descendre. Nous n’y obligeons personne».
