Autour d'un thème unique, l'Art de vivre, le Salon du Meuble de Paris - qui se tiendra du 13 au 17 janvier à la porte de Versailles - souhaite s'ancrer davantage dans l'univers de la maison et proposera plusieurs scénographies originales autour de la salle de bains.
"Nous avons choisi cette année de doter le Salon du Meuble de Paris d'un thème unique : l'Art de vivre. Et l'Art de vivre, c'est l'ensemble de la maison" explique Patrick Renaud, directeur général de la COSP, l'organisateur du salon, qui ne s'estime pas surpris la présence de 40 marques de luminaire, et d'une trentaine de marque de salle de bains. Il est vrai que cette tendance avait déjà émergé lors de l'édition précédente.
Certes, l'offre est encore limitée mais, en organisant plusieurs scénographies originales autour de la salle de bains, les organisateurs ne cachent pas leur ambition. Rappelons que la COSP a déjà tenté d'organiser sans succès un salon sur ce marché (Salles de bains d'aujourd'hui).
Au salon du meuble, la majorité des marques de salles de bain se retrouveront au sein de La Métropole, un espace autonome consacré au design et à l'avant-garde situé dans le hall 5. Citons à titre d'exemples Agape, Antolini, Bossini, Cascade design, Cesane, Collin arredo, Falper, Flaminia, Grohe, Hoesch, Kos, Nic Design, Prestige sanitaire, Regia, Sanilight, Sciroco, Sopha Industries, Technogym, Terruzzi, Tubes, Zucchetti...
Plusieurs des produits proposés seront mis en scène dans les installations confiées à l'architecte Giampaolo Benedetti ainsi qu'à Ludovica et Roberto Palomba. Ces derniers proposent Thermae, un espace de paix où l'eau est l'élément fondateur de la vie. Qui mettront en valeur les dernière nouveautés de Hoesch (espaces douche tout de transparence et spacieuses baignoires), la nouvelle ligne de robinetterie Zucchetti, et les désormais célèbres radiateurs-sculptures de Tubes.
De son côté, avec Agape, Giampaolo Benedetti a choisi de placer la salle de bains au coeur de la maison. Elle devient le point central de la distribution des espaces. La transparence et la perméabilité visuelle des pièces, garanties par des voiles légers permettent de saisir l'espace dans son ensemble. L'univers intime et privé de la maison se débarrasse des contraintes spatiales créées par les cloisons pour retrouver sans hypocrisie, toute sa véritable dimension explique l'architecte.
Plus classique, Jacob Delafon, a choisi d'exposer dans l'espace du VilleAge. L'industriel présentera notamment Sok, sa baignoire de balnéo à débordement. Ce produit sophistiqué, très contemporain allie la sécurité et le plaisir de l'eau qui déborde à l'effervescence des bulles et à la technique de la chromothérapie. Cette étonnante baignoire sera présentée dans une scénographie significative d'un art de vivre classique revisité par la modernité. Signée Christelle Le Déan et Maud Burrus, cette scénographie intègre notamment un lustre en cristal surdimensionné, un fauteuil et une banquette de style Richelieu proposés dans une version laquée rose et revêtus de cuir ou une peinture de Primatice pixellisée et imprimée numériquement, en grande largeur sur un revêtement de haute technicité.
Quant à la marqueterie au sol et celle des coffrages, elle est réalisée par LG Hi-Macs, plutôt spécialisée dans les plans de travail pour cuisine avant un matériau original 100 % acrylique imitant la pierre et étant à la fois non poreux facile à nettoyer et facile à modeler.
Autant d'espaces qui devraient intéresser les architectes - d'intérieur ou non - qui sont de plus en plus nombreux chaque année à visiter cette manifestation. "L'année dernière, les visiteurs prescripteurs ont été les seuls a afficher une progression" avoue d'ailleurs Patrick Renaud.
Certes, l'offre est encore limitée mais, en organisant plusieurs scénographies originales autour de la salle de bains, les organisateurs ne cachent pas leur ambition. Rappelons que la COSP a déjà tenté d'organiser sans succès un salon sur ce marché (Salles de bains d'aujourd'hui).
Au salon du meuble, la majorité des marques de salles de bain se retrouveront au sein de La Métropole, un espace autonome consacré au design et à l'avant-garde situé dans le hall 5. Citons à titre d'exemples Agape, Antolini, Bossini, Cascade design, Cesane, Collin arredo, Falper, Flaminia, Grohe, Hoesch, Kos, Nic Design, Prestige sanitaire, Regia, Sanilight, Sciroco, Sopha Industries, Technogym, Terruzzi, Tubes, Zucchetti...
Plusieurs des produits proposés seront mis en scène dans les installations confiées à l'architecte Giampaolo Benedetti ainsi qu'à Ludovica et Roberto Palomba. Ces derniers proposent Thermae, un espace de paix où l'eau est l'élément fondateur de la vie. Qui mettront en valeur les dernière nouveautés de Hoesch (espaces douche tout de transparence et spacieuses baignoires), la nouvelle ligne de robinetterie Zucchetti, et les désormais célèbres radiateurs-sculptures de Tubes.
De son côté, avec Agape, Giampaolo Benedetti a choisi de placer la salle de bains au coeur de la maison. Elle devient le point central de la distribution des espaces. La transparence et la perméabilité visuelle des pièces, garanties par des voiles légers permettent de saisir l'espace dans son ensemble. L'univers intime et privé de la maison se débarrasse des contraintes spatiales créées par les cloisons pour retrouver sans hypocrisie, toute sa véritable dimension explique l'architecte.
Plus classique, Jacob Delafon, a choisi d'exposer dans l'espace du VilleAge. L'industriel présentera notamment Sok, sa baignoire de balnéo à débordement. Ce produit sophistiqué, très contemporain allie la sécurité et le plaisir de l'eau qui déborde à l'effervescence des bulles et à la technique de la chromothérapie. Cette étonnante baignoire sera présentée dans une scénographie significative d'un art de vivre classique revisité par la modernité. Signée Christelle Le Déan et Maud Burrus, cette scénographie intègre notamment un lustre en cristal surdimensionné, un fauteuil et une banquette de style Richelieu proposés dans une version laquée rose et revêtus de cuir ou une peinture de Primatice pixellisée et imprimée numériquement, en grande largeur sur un revêtement de haute technicité.
Quant à la marqueterie au sol et celle des coffrages, elle est réalisée par LG Hi-Macs, plutôt spécialisée dans les plans de travail pour cuisine avant un matériau original 100 % acrylique imitant la pierre et étant à la fois non poreux facile à nettoyer et facile à modeler.
Autant d'espaces qui devraient intéresser les architectes - d'intérieur ou non - qui sont de plus en plus nombreux chaque année à visiter cette manifestation. "L'année dernière, les visiteurs prescripteurs ont été les seuls a afficher une progression" avoue d'ailleurs Patrick Renaud.