Lors du salon Bâtir Ecologique, qui s'est tenu début décembre à la Cité des Sciences, les étudiants d'écoles d'architecture intérieure ont eu l'occasion de montrer l'étendue de leur talent lors du concours de la salle de bain écologique. Découvrez les trois projets gagnants du concours.
Concevoir l'aménagement intérieur d'une salle d'eau en intégrant des préoccupations écologiques et de santé : tel était le thème du concours d'architecture intérieure du salon Bâtir Ecologique 2007. C'est donc bien une salle de bain écolo qui a été commandée aux étudiants des écoles d'architecture intérieure. Un projet sur papier et en maquette, qui se devait de respecter certaines contraintes.
La pièce, qui ne doit pas dépasser 5 m2 de surface, est destinée à une famille de quatre personnes : deux enfants en bas âge et leurs parents. Les projets ont donc été appréciés en fonction de critères d'esthétique, de consommation énergétique, d'aménagement, de coût ou d'impact sur le bien-être.
Gagnante du concours avec son projet intitulé «Retour eaux sources», Pénélope Belzeaux est en quatrième année d'architecture intérieure à Créapole, rue de Rivoli à Paris, comme sa camarade de classe Estelle Jacquot, dauphine du concours. En ce qui concerne ces deux là, c'est l'école qui a directement inscrit ses étudiants au concours. Cette étude de cas comptera d'ailleurs dans leur moyenne.
Une vieille maison à rénover
Pour Pénélope Belzeaux, une salle de bain écologique c'est «trouver une ressource en eau la plus économe possible. C'est pourquoi je me suis orientée vers la récupération d'eau de pluie». Autre critère de taille : le chauffage. Pour l'étudiante, qui a choisi de partir d'une vieille maison à rénover, c'était un vrai «challenge par rapport à l'isolation et les problèmes qu'on peut y trouver».
Mais elle a également voulu s'imposer des contraintes. Par exemple : le choix de la zone géographique (Rennes) a son importance «pour calculer l'énergie grise», c'est-à-dire savoir d'où viennent les matériaux et prendre en compte leur acheminement. Une partie intégrante de la démarche écologique selon elle.
Précisant la conception de son projet, Pénélope explique que «Retour eaux sources» englobe deux dimensions. «La première est un retour à des méthodes ancestrales (bois, etc.) qui ont beaucoup moins d'impact sur l'environnement, tout en essayant de les moderniser le plus possible. La seconde est un retour à la nature, un clin d'?il à l'extérieur avec un mobilier inspiré du jardin'»
Découvrez les trois projets gagnants du concours.
La pièce, qui ne doit pas dépasser 5 m2 de surface, est destinée à une famille de quatre personnes : deux enfants en bas âge et leurs parents. Les projets ont donc été appréciés en fonction de critères d'esthétique, de consommation énergétique, d'aménagement, de coût ou d'impact sur le bien-être.
Gagnante du concours avec son projet intitulé «Retour eaux sources», Pénélope Belzeaux est en quatrième année d'architecture intérieure à Créapole, rue de Rivoli à Paris, comme sa camarade de classe Estelle Jacquot, dauphine du concours. En ce qui concerne ces deux là, c'est l'école qui a directement inscrit ses étudiants au concours. Cette étude de cas comptera d'ailleurs dans leur moyenne.
Une vieille maison à rénover
Pour Pénélope Belzeaux, une salle de bain écologique c'est «trouver une ressource en eau la plus économe possible. C'est pourquoi je me suis orientée vers la récupération d'eau de pluie». Autre critère de taille : le chauffage. Pour l'étudiante, qui a choisi de partir d'une vieille maison à rénover, c'était un vrai «challenge par rapport à l'isolation et les problèmes qu'on peut y trouver».
Mais elle a également voulu s'imposer des contraintes. Par exemple : le choix de la zone géographique (Rennes) a son importance «pour calculer l'énergie grise», c'est-à-dire savoir d'où viennent les matériaux et prendre en compte leur acheminement. Une partie intégrante de la démarche écologique selon elle.
Précisant la conception de son projet, Pénélope explique que «Retour eaux sources» englobe deux dimensions. «La première est un retour à des méthodes ancestrales (bois, etc.) qui ont beaucoup moins d'impact sur l'environnement, tout en essayant de les moderniser le plus possible. La seconde est un retour à la nature, un clin d'?il à l'extérieur avec un mobilier inspiré du jardin'»
Découvrez les trois projets gagnants du concours.
