Luis del Rivero, le président du groupe de BTP espagnol Vallehermoso, répète dans une interview publiée mardi dans la Tribune que sa récente acquisition de 5% du capital d'Eiffage n'a aucun caractère «hostile».
«Nous voulons collaborer avec (Eiffage), dans tous les domaines possibles», assure Luis del Rivero, précisant que «nous ne sommes pas entrés au capital d'Eiffage parce que nous voulions corriger sa gestion, mais au contraire parce que nous l'appuyons totalement».
«Le seul motif de notre investissement, c'est que le secteur de la construction en France va bien, et que les entreprises du secteur cotées en Bourse offrent des marges intéressantes», ajoute Luis del Rivero.
Il s'est dit prêt à laisser le groupe français entrer à son tour au capital de Sacyr: «Nous sommes prêts à souhaiter la bienvenue à tout investisseur appuyant notre gestion».
«Nous n'avons pas cherché à acheter l'armée française», ironise Luis del Rivero, en référence au débat en cours en France sur le «patriotisme économique».
Eiffage avait vivement réagi à l'annonce de la montée du groupe espagnol à son capital, en assurant qu'il pouvait se développer «tout seul» et en martelant: «Non à une fusion, oui à des coopérations».
«Le seul motif de notre investissement, c'est que le secteur de la construction en France va bien, et que les entreprises du secteur cotées en Bourse offrent des marges intéressantes», ajoute Luis del Rivero.
Il s'est dit prêt à laisser le groupe français entrer à son tour au capital de Sacyr: «Nous sommes prêts à souhaiter la bienvenue à tout investisseur appuyant notre gestion».
«Nous n'avons pas cherché à acheter l'armée française», ironise Luis del Rivero, en référence au débat en cours en France sur le «patriotisme économique».
Eiffage avait vivement réagi à l'annonce de la montée du groupe espagnol à son capital, en assurant qu'il pouvait se développer «tout seul» et en martelant: «Non à une fusion, oui à des coopérations».