La compagnie Atomstroïexport, qui s'occupe de la construction des centrales nucléaires à l'étranger, a annoncé mardi que la Russie était prête à construire des centrales nucléaires en Turquie. La construction d'une première centrale doit débuter en 2007 pour une mise en exploitation en 2012.
Suite à lannonce de la volonté de construire de la Russie des centrales nucléaires en Turquie, les responsables turcs ont expliqué, au cours d'une réunion de la commission russo-turque sur l'énergie qui a eu lieu à Moscou la semaine dernière, que les organisations russes pouvaient « investir dans l'énergie turque dans le cadre de la législation turque ».
Inquiète d'une possible pénurie d'énergie et désireuse de réduire sa dépendance énergétique notamment vis-à-vis du gaz naturel fourni par la Russie et l'Iran, la Turquie prévoit la construction de trois centrales nucléaires d'une puissante totale de 5.000 mégawatts, qui devraient entrer en service en 2012.
La construction de la première centrale à Sinop au bord de la mer Noire doit débuter en 2007 pour une mise en exploitation en 2012.
Quelque 4.000 personnes ont manifesté fin avril à Sinop pour réclamer l'abandon du projet de centrale nucléaire dans la région et demander au gouvernement de chercher des solutions de remplacement.
La Turquie avait déjà envisagé la construction d'une centrale nucléaire mais avait dû abandonner le projet en juillet 2000 en raison des difficultés financières qu'elle connaissait alors et des protestations des écologistes, en Turquie et chez ses voisins, Grecs et Chypriotes.
Inquiète d'une possible pénurie d'énergie et désireuse de réduire sa dépendance énergétique notamment vis-à-vis du gaz naturel fourni par la Russie et l'Iran, la Turquie prévoit la construction de trois centrales nucléaires d'une puissante totale de 5.000 mégawatts, qui devraient entrer en service en 2012.
La construction de la première centrale à Sinop au bord de la mer Noire doit débuter en 2007 pour une mise en exploitation en 2012.
Quelque 4.000 personnes ont manifesté fin avril à Sinop pour réclamer l'abandon du projet de centrale nucléaire dans la région et demander au gouvernement de chercher des solutions de remplacement.
La Turquie avait déjà envisagé la construction d'une centrale nucléaire mais avait dû abandonner le projet en juillet 2000 en raison des difficultés financières qu'elle connaissait alors et des protestations des écologistes, en Turquie et chez ses voisins, Grecs et Chypriotes.