Le titre du groupe de BTP sest envolé alors que, mercredi, des rumeurs faisaient état d'une possible offre publique dachat de la part de l'Espagnol FCC. Et le démenti de ce dernier na pas apaisé le marché.
La spéculation reprend sur Eiffage, dont le titre, d'ordinaire paisible, progresse de de 3,78% ce mercredi, à la clôture. L'action profite en effet d'une rumeur faisant état de l'intérêt que porterait le groupe de services aux collectivités espagnol FCC à l'entreprise française. Les démentis de FCC n'y font rien. Eiffage, pour sa part, n'apporte pas de commentaire.
«Une offre de FCC ne serait d'ailleurs pas totalement idiote : Eiffage est une belle cible, le groupe possède des actifs de qualité et des marges importantes», a confié un analyste cité par l'AFP. En effet, Eiffage, qui semble isolé dans un secteur de la construction autoroutière déjà concentré, ne pèse que 3 milliards d'euros en Bourse. En outre, le capital de la société était auparavant contrôlé par BNP Paribas. Mais la banque a cédé ses parts sur le marché, rendant Eiffage encore plus vulnérable qu'auparavant, avec un flottant de près de 80%, tandis que le seul actionnaire de référence du groupe est désormais son personnel. Les salariés possèdent en effet 22,70% de la société.
Quoi qu'il en soit, Eiffage semble être une belle opportunité, puisque le groupe a affiché un chiffre d'affaires en hausse de 11,5% en 2004, à 7,76 milliards d'euros et un bénéfice net de 177 millions d'euros, en progression 26%. Pour 2005, le groupe attend une hausse de 2% de son chiffre d'affaires à 8,15 milliards d'euros.
«Une offre de FCC ne serait d'ailleurs pas totalement idiote : Eiffage est une belle cible, le groupe possède des actifs de qualité et des marges importantes», a confié un analyste cité par l'AFP. En effet, Eiffage, qui semble isolé dans un secteur de la construction autoroutière déjà concentré, ne pèse que 3 milliards d'euros en Bourse. En outre, le capital de la société était auparavant contrôlé par BNP Paribas. Mais la banque a cédé ses parts sur le marché, rendant Eiffage encore plus vulnérable qu'auparavant, avec un flottant de près de 80%, tandis que le seul actionnaire de référence du groupe est désormais son personnel. Les salariés possèdent en effet 22,70% de la société.
Quoi qu'il en soit, Eiffage semble être une belle opportunité, puisque le groupe a affiché un chiffre d'affaires en hausse de 11,5% en 2004, à 7,76 milliards d'euros et un bénéfice net de 177 millions d'euros, en progression 26%. Pour 2005, le groupe attend une hausse de 2% de son chiffre d'affaires à 8,15 milliards d'euros.