Paris accueille du 17 au 21 septembre la 23ème édition du Congrès de la Route. Au total, plus de 3.000 acteurs du secteur seront présents pour discuter et débattre autour de sujets liés à la gestion des réseaux routiers, la mobilité durable, la sécurité routière ou encore la qualité des infrastructures. Présentation avec Hubert Peigné, président du comité d’organisation de la manifestation.
Après Londres, Séville, Tokyo, Mexico, c’est au tour de Paris d’accueillir le Congrès Mondial de la Route qui fête cette année son centenaire.
De nombreux acteurs du secteur vont se réunir et débattre sur quatre principaux thèmes : la gouvernance et la gestion des réseaux routiers, la mobilité durable, la sécurité routière et son exploitation et la qualité des infrastructures. «Au total, une vingtaine de séances sont organisées par l’association mondiale de la route (AIPCR). Mais ce n’est pas tout car nous avons mis en place des séances complémentaires sur des sujets comme la route en ville, les usagers vulnérables que sont les handicapés, les piétions, les cyclistes… Nous souhaitons ainsi fédérer tous les usagers de la route car celle-ci est utile quand elle est pour tout le monde», explique Hubert Peigné, président du comité d’organisation du 23ème Congrès Mondial de la Route.
Le développement durable au cœur des préoccupations
Côté tendance, le développement durable s’invitera une nouvelle fois dans les débats : «nous voulons faire passer deux messages. Tout d’abord, la route doit être utile au sens du développement durable. Elle doit supprimer ou compenser ses effets négatifs comme la pollution ou les matériaux de construction polluants. D’autre part, la route doit prendre part aux enjeux écologiques au sens large. En fait, on se rend compte que la route occupe à la fois le terrain local et le terrain international», souligne Hubert Peigné.
Cette 23ème édition sera marquée par plusieurs rendez-vous. Lundi une quarantaine de ministres venus du monde entier se rencontreront pour confronter leurs points de vue et notamment aborder les problèmes de tarification.
Faire découvrir les métiers de la route aux jeunes
Autre temps fort : la journée porte ouverte, mardi, au grand public et plus particulièrement aux jeunes étudiants et aux organismes de formation. Cet événement a pour thème «Les métiers de la route, faire leur place aux jeunes». L’objectif est «de mieux faire connaître les métiers et les opportunités de carrière dans les travaux publics», déclare Hubert Peigné. Quant à l’exposition, 100 ans d’histoire de la route, elle présentera l’évolution dans le temps et dans différents pays, des métiers et techniques de la route. De plus, sur 10.000 m2, des professionnels de pays différents feront découvrir leurs projets et techniques. Le salon sera également l’occasion de faire une vingtaine de visites techniques : «nous allons montrer le tramway de Paris, visiter la passerelle Simone de Beauvoir ou encore le pont levant de Rouen…des spécialistes commenteront ses différents chantiers», affirme Hubert Peigné. Au total, plus de 3.200 personnes sont attendues lors de ces 5 jours.
De nombreux acteurs du secteur vont se réunir et débattre sur quatre principaux thèmes : la gouvernance et la gestion des réseaux routiers, la mobilité durable, la sécurité routière et son exploitation et la qualité des infrastructures. «Au total, une vingtaine de séances sont organisées par l’association mondiale de la route (AIPCR). Mais ce n’est pas tout car nous avons mis en place des séances complémentaires sur des sujets comme la route en ville, les usagers vulnérables que sont les handicapés, les piétions, les cyclistes… Nous souhaitons ainsi fédérer tous les usagers de la route car celle-ci est utile quand elle est pour tout le monde», explique Hubert Peigné, président du comité d’organisation du 23ème Congrès Mondial de la Route.
Le développement durable au cœur des préoccupations
Côté tendance, le développement durable s’invitera une nouvelle fois dans les débats : «nous voulons faire passer deux messages. Tout d’abord, la route doit être utile au sens du développement durable. Elle doit supprimer ou compenser ses effets négatifs comme la pollution ou les matériaux de construction polluants. D’autre part, la route doit prendre part aux enjeux écologiques au sens large. En fait, on se rend compte que la route occupe à la fois le terrain local et le terrain international», souligne Hubert Peigné.
Cette 23ème édition sera marquée par plusieurs rendez-vous. Lundi une quarantaine de ministres venus du monde entier se rencontreront pour confronter leurs points de vue et notamment aborder les problèmes de tarification.
Faire découvrir les métiers de la route aux jeunes
Autre temps fort : la journée porte ouverte, mardi, au grand public et plus particulièrement aux jeunes étudiants et aux organismes de formation. Cet événement a pour thème «Les métiers de la route, faire leur place aux jeunes». L’objectif est «de mieux faire connaître les métiers et les opportunités de carrière dans les travaux publics», déclare Hubert Peigné. Quant à l’exposition, 100 ans d’histoire de la route, elle présentera l’évolution dans le temps et dans différents pays, des métiers et techniques de la route. De plus, sur 10.000 m2, des professionnels de pays différents feront découvrir leurs projets et techniques. Le salon sera également l’occasion de faire une vingtaine de visites techniques : «nous allons montrer le tramway de Paris, visiter la passerelle Simone de Beauvoir ou encore le pont levant de Rouen…des spécialistes commenteront ses différents chantiers», affirme Hubert Peigné. Au total, plus de 3.200 personnes sont attendues lors de ces 5 jours.
