L'Insee a très légèrement rectifié mercredi l'indice de référence des loyers français (IRL) à 2,60%, contre 2,64%, pour le 2e trimestre 2005 et à 2,30%, contre 2,33%, pour le 3e trimestre. Une erreur liée à un « problème informatique ».
Pour ce nouvel indice, l'Insee a retenu comme base 100 le 2e trimestre 2004. Au 2e trimestre 2005, l'indice s'est ainsi établi à 102,60. Pour le 3e trimestre, il a atteint 103,07, contre 100,75 au 3e trimestre de l'année précédente.
«Pour un loyer de 500 euros (moyenne nationale en France métropolitaine) révisé strictement sur la base de l'indice de référence des loyers du 2e trimestre 2005, on peut estimer le supplément indu de loyer mensuel à 20 centimes d'euro» et de «15 centimes d'euro» pour un loyer révisé sur la base de l'indice du 3e trimestre, précise lInsee. Une erreur certes minime mais pour laquelle lInsee a tenu à sexcuser : «l'Insee présente toutes ses excuses à ses utilisateurs, notamment les locataires et bailleurs concernés, pour cette regrettable erreur», indique lInstitut dans un communiqué.
Rappelons que l'IRL, révisé chaque trimestre, a remplacé l'indice du coût de la construction (ICC) pour servir de référence à la révision annuelle des loyers. Le gouvernement avait décidé sa mise en place en raison de la forte hausse de l'ICC ces dernières années liée à celle des matières premières.
«Pour un loyer de 500 euros (moyenne nationale en France métropolitaine) révisé strictement sur la base de l'indice de référence des loyers du 2e trimestre 2005, on peut estimer le supplément indu de loyer mensuel à 20 centimes d'euro» et de «15 centimes d'euro» pour un loyer révisé sur la base de l'indice du 3e trimestre, précise lInsee. Une erreur certes minime mais pour laquelle lInsee a tenu à sexcuser : «l'Insee présente toutes ses excuses à ses utilisateurs, notamment les locataires et bailleurs concernés, pour cette regrettable erreur», indique lInstitut dans un communiqué.
Rappelons que l'IRL, révisé chaque trimestre, a remplacé l'indice du coût de la construction (ICC) pour servir de référence à la révision annuelle des loyers. Le gouvernement avait décidé sa mise en place en raison de la forte hausse de l'ICC ces dernières années liée à celle des matières premières.