Le numéro un mondial de la distribution de matériel électrique a vu son chiffre d'affaires semestriel baisser de 10,5%(-2,8% à périmètre, structure et changes comparables) pour atteindre 3,332 milliards d'euros.
Cette baisse de 10,5% s'explique par un effet défavorable des changes de 299 millions d'euros et un effet de périmètre favorable de 11 millions d'euros. "Du fait de la baisse d'activité, le premier semestre enregistrera une rentabilité d'exploitation inférieure aux semestres précédents", précise le communiqué.
Comme la marge d'exploitation était de 4,1% au 1er semestre 2002 et de 3,9% au 2ème semestre 2002, cela signifie que la rentabilité du 1er semestre 2003 sera inférieure à ces chiffres.
"En revanche le renforcement des coûts devrait permettre, sur la base des tendances d'activités actuelles, une amélioration de la rentabilité d'exploitation dès le deuxième semestre 2003", précise le communiqué.
Au deuxième trimestre 2003, le chiffre d'affaires a atteint 1,671 milliard d'euros, en baisse de 10,7% en réel, mais de 2,7% à éléments comparables contre -3% au 1er trimestre 2003, a précisé le groupe.
"Les cessions réalisées dans de bonnes conditions au 1er semestre 2003, ainsi que l'augmentation de capital réussie, permettront à Rexel de bénéficier d'une structure financière renforcée, pour profiter de toute reprise d'activité", estime le groupe.
Ces cessions et l'augmentation de capital ont en effet permis à Rexel "sur la base des chiffres 2002, de ramener son taux d'endettement à 33% environ fin juin 2003 au lieu de 100% fin décembre 2002", a souligné le groupe.
A éléments comparables, le chiffre d'affaires affiche au 1er semestre une baisse de 2,9% en Amérique du nord (-3,6% au 1er trimestre, -2,2% au 2ème trimestre), de 2% en France (-1,4% au 1er trimestre, -2,7% au 2ème trimestre) et de 4,2% en Europe hors France (-4,5% au 1er trimestre, -3,9% au 2ème trimestre), mais une hausse de 1,2% en Asie-Pacifique (+0,4% au 1er trimestre, +1,9% au 2ème trimestre).
A la publication de ces résultats, les analystes regrettaient surtout l'absence de signe fort de reprise. "Les mesures de réductions de coûts porteront leurs fruits, mais nous attendons des signes de reprises plus significatifs pour changer de recommandation sur la valeur", expliquent Denis Guelen et Guy Francheteau, analystes de Fideuram Wargny.
Rappelons que la maison-mère PPR a annoncé son intention de céder cette filiale, qui ne fait plus partie de sa stratégie recentrée sur la distribution aux particuliers et le luxe.
Comme la marge d'exploitation était de 4,1% au 1er semestre 2002 et de 3,9% au 2ème semestre 2002, cela signifie que la rentabilité du 1er semestre 2003 sera inférieure à ces chiffres.
"En revanche le renforcement des coûts devrait permettre, sur la base des tendances d'activités actuelles, une amélioration de la rentabilité d'exploitation dès le deuxième semestre 2003", précise le communiqué.
Au deuxième trimestre 2003, le chiffre d'affaires a atteint 1,671 milliard d'euros, en baisse de 10,7% en réel, mais de 2,7% à éléments comparables contre -3% au 1er trimestre 2003, a précisé le groupe.
"Les cessions réalisées dans de bonnes conditions au 1er semestre 2003, ainsi que l'augmentation de capital réussie, permettront à Rexel de bénéficier d'une structure financière renforcée, pour profiter de toute reprise d'activité", estime le groupe.
Ces cessions et l'augmentation de capital ont en effet permis à Rexel "sur la base des chiffres 2002, de ramener son taux d'endettement à 33% environ fin juin 2003 au lieu de 100% fin décembre 2002", a souligné le groupe.
A éléments comparables, le chiffre d'affaires affiche au 1er semestre une baisse de 2,9% en Amérique du nord (-3,6% au 1er trimestre, -2,2% au 2ème trimestre), de 2% en France (-1,4% au 1er trimestre, -2,7% au 2ème trimestre) et de 4,2% en Europe hors France (-4,5% au 1er trimestre, -3,9% au 2ème trimestre), mais une hausse de 1,2% en Asie-Pacifique (+0,4% au 1er trimestre, +1,9% au 2ème trimestre).
A la publication de ces résultats, les analystes regrettaient surtout l'absence de signe fort de reprise. "Les mesures de réductions de coûts porteront leurs fruits, mais nous attendons des signes de reprises plus significatifs pour changer de recommandation sur la valeur", expliquent Denis Guelen et Guy Francheteau, analystes de Fideuram Wargny.
Rappelons que la maison-mère PPR a annoncé son intention de céder cette filiale, qui ne fait plus partie de sa stratégie recentrée sur la distribution aux particuliers et le luxe.