Bouygues Telecoms, TF1 et Bouygues immobilier sauvent le groupe, qui enregistre tout de même une baisse de son chiffre d’affaires.
Au 1er semestre, le chiffre d'affaires consolidé du groupe Bouygues s'établit à 10,2 milliards d'euros, en diminution de 5,8% par rapport à l'année précédente en raison de la cession de Bouygues Offshore intervenue fin juin 2002. Hors cette cession, le chiffre d’affaires de Bouygues serait stable, l’accroissement des activités de Bouygues Telecom et de TF1 compensant la diminution des activités de la Construction rapporte le communiqué.
Le résultat courant du Groupe atteint 402 millions d’euros contre 356 millions d’euros pour le 1er semestre 2002, soit une progression de 13%. A périmètre comparable, le résultat courant augmente de 19%.
Le résultat net du 1er semestre 2003 s’établit à 130 millions d’euros. Celui du 1er semestre 2002 était de 465 millions d’euros. Le résultat comparable du 1er semestre 2002 était de 116 millions d’euros après déduction des plus-values sur cession de titres dont celle de Bouygues Offshore pour 337 millions d’euros et prise en compte de l’effet de changement de périmètre. La croissance du résultat net atteint ainsi 12%.
Cette performance est due à la progression des bénéfices de Bouygues Telecom, de TF1, de Bouygues Immobilier et de Saur.
La perte de Bouygues Construction à fin juin 2003 est de 5 millions d’euros. Le résultat du 2ème trimestre confirme le redressement déjà constaté au 1er trimestre 2003 par rapport au 2ème semestre 2002. La réorganisation entamée fin 2002 commence à porter ses fruits.
Le carnet de commandes, à 5,3 milliards d’euros à fin août 2003, est à un bon niveau, supérieur à celui de fin d’année 2002. Bouygues Construction confirme ainsi son savoir-faire et son dynamisme commercial.
Les performances du Groupe sur les six premiers mois de l’année permettent de prévoir un chiffre d’affaires pour l’ensemble de l’exercice de 21,5 milliards d’euros, stable par rapport au chiffre d’affaires comparable de l’année précédente, et une progression significative du résultat net 2003 par rapport au résultat net 2002 qui était de 319 millions d’euros hors plus-value sur la cession des titres Bouygues Offshore.
Le résultat courant du Groupe atteint 402 millions d’euros contre 356 millions d’euros pour le 1er semestre 2002, soit une progression de 13%. A périmètre comparable, le résultat courant augmente de 19%.
Le résultat net du 1er semestre 2003 s’établit à 130 millions d’euros. Celui du 1er semestre 2002 était de 465 millions d’euros. Le résultat comparable du 1er semestre 2002 était de 116 millions d’euros après déduction des plus-values sur cession de titres dont celle de Bouygues Offshore pour 337 millions d’euros et prise en compte de l’effet de changement de périmètre. La croissance du résultat net atteint ainsi 12%.
Cette performance est due à la progression des bénéfices de Bouygues Telecom, de TF1, de Bouygues Immobilier et de Saur.
La perte de Bouygues Construction à fin juin 2003 est de 5 millions d’euros. Le résultat du 2ème trimestre confirme le redressement déjà constaté au 1er trimestre 2003 par rapport au 2ème semestre 2002. La réorganisation entamée fin 2002 commence à porter ses fruits.
Le carnet de commandes, à 5,3 milliards d’euros à fin août 2003, est à un bon niveau, supérieur à celui de fin d’année 2002. Bouygues Construction confirme ainsi son savoir-faire et son dynamisme commercial.
Les performances du Groupe sur les six premiers mois de l’année permettent de prévoir un chiffre d’affaires pour l’ensemble de l’exercice de 21,5 milliards d’euros, stable par rapport au chiffre d’affaires comparable de l’année précédente, et une progression significative du résultat net 2003 par rapport au résultat net 2002 qui était de 319 millions d’euros hors plus-value sur la cession des titres Bouygues Offshore.
