Une convention cadre portant sur la restructuration de près de 40.000 logements dans le Val-de-Marne (94) a été signée mercredi par le conseil général du département et l'Agence nationale de rénovation urbaine (ANRU).
La convention signé par le conseil général du Val-de-Marne et lANRU mobilisera au total plus d'un 1,6 milliard d'euros sur la période 2006-2011. Elle concerna au final 24 ou 25 opérations de restructuration de 17 quartiers du département et plus de 100.000 personnes.
L'ANRU consacrera 480 millions d'euros aux grands projets et 11 millions d'euros supplémentaires pour des projets plus limités à l'échelon départemental.
Le conseil général affectera pour sa part 122 millions d'euros à des opérations relevant de la politique de l'habitat ou de l'équipement tels que des crèches, des centres de protection maternelle ou infantile. Un montant de 186 millions deuros sera attribué au titre de gros équipements d'infrastructures comme la voirie, les collèges et les salles de sport.
Le conseil général a précisé que le reste sera financé par les villes, les bailleurs et l'emprunt. Il a pour ailleurs insisté sur la nécessité que les projets de restructuration étudiés soient élaborés « au terme d'une réelle concertation avec les habitants », que « soit strictement respecté le principe d'une construction nouvelle pour une démolition » et enfin que le « montant des nouveaux loyers après réhabilitation et restructuration demeure accessible » aux habitants.
L'ANRU consacrera 480 millions d'euros aux grands projets et 11 millions d'euros supplémentaires pour des projets plus limités à l'échelon départemental.
Le conseil général affectera pour sa part 122 millions d'euros à des opérations relevant de la politique de l'habitat ou de l'équipement tels que des crèches, des centres de protection maternelle ou infantile. Un montant de 186 millions deuros sera attribué au titre de gros équipements d'infrastructures comme la voirie, les collèges et les salles de sport.
Le conseil général a précisé que le reste sera financé par les villes, les bailleurs et l'emprunt. Il a pour ailleurs insisté sur la nécessité que les projets de restructuration étudiés soient élaborés « au terme d'une réelle concertation avec les habitants », que « soit strictement respecté le principe d'une construction nouvelle pour une démolition » et enfin que le « montant des nouveaux loyers après réhabilitation et restructuration demeure accessible » aux habitants.