INFRASTRUCTURE. Touchés par l'intensification des phénomènes climatiques, les réseaux d'eaux usées et pluviales doivent être repensés pour une meilleure adaptation aux sécheresses et aux inondations. Cela pose cependant la nécessaire question du financement de ces travaux. Des enjeux qui ont été abordés lors de la 4e matinée de l'eau, organisée par Les Canalisateurs à la veille de la journée mondiale de l'eau.
Comme chaque année, la journée mondiale de l'eau a eu lieu le 22 mars . Et, pour la quatrième année consécutive, le syndicat de spécialité des Canalisateurs s'est emparé du sujet en lançant une série d'événements à travers la France. Pour cette édition 2025, organisé le 21 mars, la thématique choisie était celle de la place des réseaux d'eaux usées et pluviales dans la transition écologique.
En Centre-Val de Loire, cette matinée dédiée s'est tenue à Tours. L'occasion pour le syndicat de spécialité, la Fédération régionale des travaux publics (FRTP) et leurs invités de revenir sur les nombreux enjeux qui attendent les réseaux locaux, confrontés à des épisodes climatiques de plus en plus intenses, mais aussi sur les modalités de financement de ces transitions.
Des réseaux dégradés et à repenser
Pierre Rampa, président des Canalisateurs, est on ne peut plus clair :
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