SINISTRES. La réparation bas carbone est l'avenir de la gestion des sinistres. C'est en tout cas ce que défend Sarectec, spécialiste français du secteur. Le groupe est ainsi revenu, fin février 2025, sur les résultats de son offre dédiée, qui a permis d'éviter des émissions carbone lors de chantiers, affirme-t-il. Elle se heurte cependant à plusieurs freins intrinsèques au secteur du bâtiment.


Inondations, sécheresses, tempêtes. L'intensité et la fréquence des événements climatiques risquent bien de s'aggraver dans les prochaines années. Avec, derrière, une explosion du coût des assurances face à l'augmentation des sinistres. Et en complément, une hausse des émissions carbone liés aux travaux de réparation.

 

Pour le spécialiste des sinistres Saretec, il est nécessaire d'anticiper dès maintenant ces potentielles évolutions. Il a ainsi lancé en 2023 une offre de réparation dite bas carbone. Un an et demi plus tard, soit fin février 2025, le groupe a fait le point sur ce nouveau dispositif lors d'une conférence de presse. L'occasion de dresser un premier bilan mais aussi de passer en revue les différents freins rencontrés dans le déploiement de l'offre.
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