Selon le quotidien Les Echos, le nouveau patron du groupe, Yves Gabriel, se lance dans un nouveau remaniement de son organigramme. Des informations aussitôt démenties par ce dernier qui confirme toutefois une prochaine évolution de l'organisation et de la direction générale.
"Bouygues Construction : troisième réorganisation en quatre ans" titrait Les Echos dans son édition de lundi 03 février. Le quotidien économique indique que l'équipe des trois directeurs généraux délégués mise en place par Jean-Pierre Combot en octobre 2001, devrait "laisser place à un organigramme horizontal permettant à la fois une meilleure décentralisation des décisions et un contrôle direct des activités par Yves Gabriel".
Seraient sur la sellette, les directeurs généraux délégués René Jacquot et Michel Cote, tous deux âgés de 60 ans. Les difficultés que connaissent les pôles dont ces deux dirigeants ont la charge ne seraient pas étrangères à cette réorganisation. Ainsi, toujours selon notre confrère Guillaume Delacroix, les deux pôles dirigés par Michel Cote (ndlr : les travaux publics et le bâtiment international) souffriraient en raison de disfonctionnement sur certains gros chantiers comme le tunnel du Lötschberg, en Suisse, et l'hôpital de Papeete, à Tahiti.
Si d'autres filiales du groupe, comme Bouygues Habitat ou VSL-Intrafor, semblent également concernées, toutes devraient voir leur identité visuelle s'uniformiser avec "un retour du nom de Bouygues dans tous les logos de l'entreprise".
Immédiatement après la publication de l'article, la direction du groupe a publié un démenti sur le départ ou la mise à l'écart de René Jacquot et Michel Cote. Le communiqué confirme toutefois "une prochaine évolution de l'organisation et de la direction générale de Bouygues Construction".
Seraient sur la sellette, les directeurs généraux délégués René Jacquot et Michel Cote, tous deux âgés de 60 ans. Les difficultés que connaissent les pôles dont ces deux dirigeants ont la charge ne seraient pas étrangères à cette réorganisation. Ainsi, toujours selon notre confrère Guillaume Delacroix, les deux pôles dirigés par Michel Cote (ndlr : les travaux publics et le bâtiment international) souffriraient en raison de disfonctionnement sur certains gros chantiers comme le tunnel du Lötschberg, en Suisse, et l'hôpital de Papeete, à Tahiti.
Si d'autres filiales du groupe, comme Bouygues Habitat ou VSL-Intrafor, semblent également concernées, toutes devraient voir leur identité visuelle s'uniformiser avec "un retour du nom de Bouygues dans tous les logos de l'entreprise".
Immédiatement après la publication de l'article, la direction du groupe a publié un démenti sur le départ ou la mise à l'écart de René Jacquot et Michel Cote. Le communiqué confirme toutefois "une prochaine évolution de l'organisation et de la direction générale de Bouygues Construction".