Le norvégien Renewable Energy Corporation (REC) va installer une usine de polysilicium au Québec. Montant de l'investissement : 1.2 milliards de dollars, soit 812 millions d'euros.
Une usine de polysilicium verra bientôt le jour dans la ville de Becancour, à mi-chemin entre Québec et Montréal.
REC a en effet décidé d'implanter un site de production de composants de base de panneaux solaires au Québec, pour un montant de 812 millions d'euros. Sa construction devrait débuter en 2010 pour une mise en production prévue pour 2012. L'usine sera en mesure de compter jusqu'à 4 lignes de production et emploiera plus de 300 personnes à plein régime.
« Cette annonce est une excellente nouvelle. Nous renforçons notre position de leader nord-américain en matière d'énergies renouvelables. Le Québec a fait le choix des énergies renouvelables et REC Silicon a reconnu ce leadership en choisissant le Québec », a déclaré le Premier ministre de la province, Jean Charest. Pour sa part, le groupe norvégien a expliqué que l'un des principaux critères de son choix avait été le prix et la stabilité de l'approvisionnement en électricité dont ses usines sont de grosses consommatrices, relate l'AFP.
Le gouvernement québécois a également précisé que d'ici à l'ouverture de l'usine, le chantier fournirait quelque 1.000 emplois.
REC a en effet décidé d'implanter un site de production de composants de base de panneaux solaires au Québec, pour un montant de 812 millions d'euros. Sa construction devrait débuter en 2010 pour une mise en production prévue pour 2012. L'usine sera en mesure de compter jusqu'à 4 lignes de production et emploiera plus de 300 personnes à plein régime.
« Cette annonce est une excellente nouvelle. Nous renforçons notre position de leader nord-américain en matière d'énergies renouvelables. Le Québec a fait le choix des énergies renouvelables et REC Silicon a reconnu ce leadership en choisissant le Québec », a déclaré le Premier ministre de la province, Jean Charest. Pour sa part, le groupe norvégien a expliqué que l'un des principaux critères de son choix avait été le prix et la stabilité de l'approvisionnement en électricité dont ses usines sont de grosses consommatrices, relate l'AFP.
Le gouvernement québécois a également précisé que d'ici à l'ouverture de l'usine, le chantier fournirait quelque 1.000 emplois.