Une conférence préparatoire sur la reconstruction de l'Irak se tiendra au siège des Nations Unies à New York à l'initiative du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), a confirmé l'Onu lundi.
Intitulée "rencontre informelle sur la reconstruction et le redressement de l'Irak" la réunion, prévue pour durer toute la journée de mardi, se déroulera pour l'essentiel, à huis clos.
Seules les allocutions d'ouverture de l'administrateur du Pnud, Mark Malloch-Brown, du coordonnateur humanitaire de l'Onu en Irak, Ramiro Lopez da Silva, et et de la représentante de l'Autorité provisoire de la Coalition, Mme Akila Al Hashimi, seront publiques selon le programme officiel.
Les quatre autres sessions (Défis à la reconstruction, défis macro-économique et de gouvernance et étapes suivantes) seront réservés aux seuls participants, notamment ceux du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, du Fonds arabe pour le développement ainsi que les représentants de plusieurs pays comme le Japon, la France et l'Union européenne.
Cette réunion constitue un prélude pour l'organisation d'une conférence des donateurs pour la reconstruction de l'Irak que la coalition anglo-américaine occupant ce pays souhaite organiser à l'automne.
L'ambassade des Etats-Unis à l'Onu a apparemment cherché à accroître la visibilité de ce qui devait être au départ une rencontre plutôt technique, en organisant lundi au siège de l'Onu une conférence de presse de quatre Irakiens spécialement amenés de Bagdad, coopérant avec les services de l'administrateur civil américain de l'Irak, Paul Bremer.
Washington cependant n'a pas voulu fixer trop haut les attentes: "Il ne s'agit pas d'une conférence pour recueillir des promesses", a déclaré Alan Larson, sous-secrétaire d'Etat américain pour les affaires économiques.
"Nous espérons une participation active et constructive de tous les joueurs importants", a-t-il encore déclaré en présentant la réunion comme "le début d'un processus en cours qui donnera à chacun une meilleure idée" de ce qui est nécessaire pour la reconstruction de l'Irak.
Seules les allocutions d'ouverture de l'administrateur du Pnud, Mark Malloch-Brown, du coordonnateur humanitaire de l'Onu en Irak, Ramiro Lopez da Silva, et et de la représentante de l'Autorité provisoire de la Coalition, Mme Akila Al Hashimi, seront publiques selon le programme officiel.
Les quatre autres sessions (Défis à la reconstruction, défis macro-économique et de gouvernance et étapes suivantes) seront réservés aux seuls participants, notamment ceux du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, du Fonds arabe pour le développement ainsi que les représentants de plusieurs pays comme le Japon, la France et l'Union européenne.
Cette réunion constitue un prélude pour l'organisation d'une conférence des donateurs pour la reconstruction de l'Irak que la coalition anglo-américaine occupant ce pays souhaite organiser à l'automne.
L'ambassade des Etats-Unis à l'Onu a apparemment cherché à accroître la visibilité de ce qui devait être au départ une rencontre plutôt technique, en organisant lundi au siège de l'Onu une conférence de presse de quatre Irakiens spécialement amenés de Bagdad, coopérant avec les services de l'administrateur civil américain de l'Irak, Paul Bremer.
Washington cependant n'a pas voulu fixer trop haut les attentes: "Il ne s'agit pas d'une conférence pour recueillir des promesses", a déclaré Alan Larson, sous-secrétaire d'Etat américain pour les affaires économiques.
"Nous espérons une participation active et constructive de tous les joueurs importants", a-t-il encore déclaré en présentant la réunion comme "le début d'un processus en cours qui donnera à chacun une meilleure idée" de ce qui est nécessaire pour la reconstruction de l'Irak.
