Le ministre français de la Culture Renaud Donnedieu de Vabre a inauguré vendredi le pavillon français de la 10ème biennale d’architecture de Venise. Baptisé Métavilla, ce dernier a été transformé en lieu de vie ouvert aux visiteurs.
Deux jours avant l’ouverture de la 10ème biennale d’architecture de Venise, le ministre de la Culture a inauguré vendredi le pavillon français. Conçu par 25 jeunes architectes, graphistes et urbanistes (principalement issus du collectif EXYZT, ndlr) dirigés par l’architecte Patrick Bouchain, le pavillon français s’établit une base de vie et de travail où l'équipe compte vivre jusqu'au 19 novembre, clôture de la Biennale.
Baptisé «Métavilla», ce pavillon dispose d’une cuisine, d’une grande table pour les repas, d’une salle télé… Autant d’éléments qui permettront à Patrick Bouchain et son équipe de tenir table ouverte et d’inviter les visiteurs «à s'asseoir, boire et manger».
Outre les chambres du rez-de-chaussée, le toit du pavillon a été aménagé en «bains publics» avec douches, toilettes, sauna, mini-bassin et hamacs, tous ouverts aux visiteurs.
«Nous avons voulu faire du pavillon un lieu d'hospitalité. Car si une biennale existe encore à l'heure de l'Internet et des nouvelles technologies, cela montre bien que les gens ont envie de se voir et de se rencontrer. Nous voulons un acte d'architecture, non pas une exposition de maquettes», explique Patrick Bouchain.
«Chaque personne qui entrera dans ce pavillon en ressortira différente. Le lieu lance d'utiles débats et rapproche le possible du réel» a quant à lui estimé le ministre de la Culture.
Le ministre s'est déclaré en faveur d'une «architecture qui contribue à l'art de vivre dans la cité» et a souligné que «l'architecture doit avoir comme mission de s'intéresser au défi des violences de la vie quotidienne, mais aussi de les résoudre».
Baptisé «Métavilla», ce pavillon dispose d’une cuisine, d’une grande table pour les repas, d’une salle télé… Autant d’éléments qui permettront à Patrick Bouchain et son équipe de tenir table ouverte et d’inviter les visiteurs «à s'asseoir, boire et manger».
Outre les chambres du rez-de-chaussée, le toit du pavillon a été aménagé en «bains publics» avec douches, toilettes, sauna, mini-bassin et hamacs, tous ouverts aux visiteurs.
«Nous avons voulu faire du pavillon un lieu d'hospitalité. Car si une biennale existe encore à l'heure de l'Internet et des nouvelles technologies, cela montre bien que les gens ont envie de se voir et de se rencontrer. Nous voulons un acte d'architecture, non pas une exposition de maquettes», explique Patrick Bouchain.
«Chaque personne qui entrera dans ce pavillon en ressortira différente. Le lieu lance d'utiles débats et rapproche le possible du réel» a quant à lui estimé le ministre de la Culture.
Le ministre s'est déclaré en faveur d'une «architecture qui contribue à l'art de vivre dans la cité» et a souligné que «l'architecture doit avoir comme mission de s'intéresser au défi des violences de la vie quotidienne, mais aussi de les résoudre».
