Selon une étude réalisée auprès de 50 BET par Promotique Bâtiments pour la société Trus Joist, les bureaux d'études thermiques vont devoir considérer de nouveaux procédés et les constructeurs s'efforcer de suivre le mouvement.
Si le premier choc pétrolier a amené les professionnels de la construction à mettre en place les bases d'une réglementation thermique, il a fallu attendre l'an 2000 pour faire évoluer la performance du bâti. De leur côté, les labels Promotelec et Vivrelec ont permis d'anticiper ces
réglementations en exigeant un minimum de performance.
Compte-tenu du nombre de gardes fous envisagés par la réglementation 2005, cest une nouvelle étape qui sengage à présent autant du point de vue des procédés eux-mêmes que de leur mise en oeuvre
Pour autant, la nouvelle réglementation ne suffira pas à elle seule à provoquer un changement des mentalités.
Jusqu'à maintenant, l'étude montre que les points pénalisants n'ont pas conduit à de grandes révolutions dans les méthodes constructives. Ce qui est sur, cest que les nouvelles normes obligeront à tester dautres solutions et devraient améliorer le dialogue entre les bureaux détudes thermiques et les concepteurs.
Pour beaucoup, la prise en compte de la RT est plutôt assimilée à une contrainte qu'à une réelle remise en cause des méthodes constructives. L'échéance 2005 est loin d'être la préoccupation majeure des constructeurs et la plupart attendront le dernier moment pour intégrer d'éventuelles modifications. La question qui leur est posée est donc le prix à payer pour ladaptation aux nouvelles normes.
En effet, les coûts de production doivent être maîtrisés surtout dans un marché où les exigences des consommateurs évoluent vers toujours plus de confort, de délais, dévolutivité. Il reste quun constructeur de maisons individuelles modifiera dautant plus volontiers son approche si les BET mettent laccent sur les performances thermiques de nouveaux procédés. Les labels HQE et dautres accords cadres vont dans cette direction également.
réglementations en exigeant un minimum de performance.
Compte-tenu du nombre de gardes fous envisagés par la réglementation 2005, cest une nouvelle étape qui sengage à présent autant du point de vue des procédés eux-mêmes que de leur mise en oeuvre
Pour autant, la nouvelle réglementation ne suffira pas à elle seule à provoquer un changement des mentalités.
Jusqu'à maintenant, l'étude montre que les points pénalisants n'ont pas conduit à de grandes révolutions dans les méthodes constructives. Ce qui est sur, cest que les nouvelles normes obligeront à tester dautres solutions et devraient améliorer le dialogue entre les bureaux détudes thermiques et les concepteurs.
Pour beaucoup, la prise en compte de la RT est plutôt assimilée à une contrainte qu'à une réelle remise en cause des méthodes constructives. L'échéance 2005 est loin d'être la préoccupation majeure des constructeurs et la plupart attendront le dernier moment pour intégrer d'éventuelles modifications. La question qui leur est posée est donc le prix à payer pour ladaptation aux nouvelles normes.
En effet, les coûts de production doivent être maîtrisés surtout dans un marché où les exigences des consommateurs évoluent vers toujours plus de confort, de délais, dévolutivité. Il reste quun constructeur de maisons individuelles modifiera dautant plus volontiers son approche si les BET mettent laccent sur les performances thermiques de nouveaux procédés. Les labels HQE et dautres accords cadres vont dans cette direction également.