Le président de la région, Martin Malvy, a déclaré jeudi dans un communiqué «être prêt à envisager» une participation financière de sa région au financement de la ligne grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux, à condition qu'elle rallie ensuite Toulouse.
«Je suis prêt à envisager l'examen d'une éventuelle participation de Midi-Pyrénées sur Bordeaux-Tours pour contribuer au déblocage de la situation (sur le financement) comme on nous le demande», a écrit M. Malvy dans un communiqué transmis à l'AFP.
«Mais cela ne saurait être, bien entendu, envisagé que dans le cadre d'un itinéraire global, c'est-à-dire d'un projet commun Toulouse-Bordeaux-Tours, c'est-à-dire Toulouse-Paris en trois heures», a-t-il ajouté après une réunion jeudi à Bordeaux sur la LGV dans le Sud-Ouest.
Le projet Bordeaux-Toulouse prévoit une ligne d'environ 200 km sur laquelle les trains pourraient rouler à 320 km/h. Après sa construction, envisagée à l'horizon 2016 et pour un coût de 2,9 milliards d'euros, Toulouse serait à trois heures environ de Paris, via Bordeaux, soit un gain de temps de deux heures.
«Mais cela ne saurait être, bien entendu, envisagé que dans le cadre d'un itinéraire global, c'est-à-dire d'un projet commun Toulouse-Bordeaux-Tours, c'est-à-dire Toulouse-Paris en trois heures», a-t-il ajouté après une réunion jeudi à Bordeaux sur la LGV dans le Sud-Ouest.
Le projet Bordeaux-Toulouse prévoit une ligne d'environ 200 km sur laquelle les trains pourraient rouler à 320 km/h. Après sa construction, envisagée à l'horizon 2016 et pour un coût de 2,9 milliards d'euros, Toulouse serait à trois heures environ de Paris, via Bordeaux, soit un gain de temps de deux heures.