L'œuvre sur les hauteurs de Gréalou symbolise donc un retour des professionnels du bâtiment à des techniques de construction régionales qui s'étaient perdues mais qui sont encore pratiquées, notamment en Lozère et en Dordogne. « Depuis 5-6 ans, ces savoir-faire reviennent car il y a un regain d'intérêt de la pierre sèche chez les particuliers, et les jeunes maçons s'y intéressent aussi », se félicite Vincent Caussanel.

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