L'œuvre sur les hauteurs de Gréalou symbolise donc un retour des professionnels du bâtiment à des techniques de construction régionales qui s'étaient perdues mais qui sont encore pratiquées, notamment en Lozère et en Dordogne. « Depuis 5-6 ans, ces savoir-faire reviennent car il y a un regain d'intérêt de la pierre sèche chez les particuliers, et les jeunes maçons s'y intéressent aussi », se félicite Vincent Caussanel.
Dans le Lot, un nouveau gîte sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle
Corentin Patrigeon, le 05/09/2022 à 16:17