Une frange d'architectes, particulièrement remontée contre les nouvelles procédures sur les constructions publiques, s'est livrée à des attaques personnelles contre des confrères favorables au projet. Dans un communiqué, l'Ordre des architectes s'indigne.
"Quelle que soit la position que l'on puisse avoir sur les procédures adoptées ou en passe d'être adoptées par le gouvernement sur les constructions publiques - et la profession des architectes unie a d'ailleurs pu manifester récemment qu'elle les condamnait -, rien ne saurait justifier que des confrères fassent l'objet d'attaques personnelles" s'indigne Jean-François Susini, président du Conseil National de l'Ordre des Architectes.
L'Ordre des architectes "apporte son soutien à toutes celles et ceux qui ont fait l'objet ces derniers jours de campagnes calomnieuses et dont l'outil de travail a été dégradé cela, au seul motif qu'ils exerçaient leur métier dans le cadre de procédures contestées mais cependant régulièrement prévues par la législation ".
"Il appelle solennellement l'ensemble des élus de la profession à veiller à ce que les biens et les personnes de nos confrères soient respectés et à ne plus diffuser sans concertation préalable, d'interprétations juridiquement infondées des textes régissant la profession, dont l'effet politique ne peut conduire qu'à l'exacerbation des crispations entre confrères, cela au péril de la nécessaire cohésion de tous les architectes" précise le communiqué.
L'Ordre des architectes "apporte son soutien à toutes celles et ceux qui ont fait l'objet ces derniers jours de campagnes calomnieuses et dont l'outil de travail a été dégradé cela, au seul motif qu'ils exerçaient leur métier dans le cadre de procédures contestées mais cependant régulièrement prévues par la législation ".
"Il appelle solennellement l'ensemble des élus de la profession à veiller à ce que les biens et les personnes de nos confrères soient respectés et à ne plus diffuser sans concertation préalable, d'interprétations juridiquement infondées des textes régissant la profession, dont l'effet politique ne peut conduire qu'à l'exacerbation des crispations entre confrères, cela au péril de la nécessaire cohésion de tous les architectes" précise le communiqué.