L’association des architectes de l’urgence livre ce mois-ci plusieurs dizaines de maisons aux habitants d’Aceh en Indonésie, et débute la rénovation de magasins de vente de poissons au Sri Lanka.
Sur les 526 maisons prévues au programme des architectes de l’urgence à Aceh (Indonésie), 80 sont actuellement en chantier, dont 40 devraient être finalisées pour la fin du mois et remises à leurs bénéficiaires début août. Avec l’achèvement de 37 petits bateaux de pêche motorisés et de 11 trémailleurs (gros bateaux de pêche), plus de 280 pêcheurs vont pouvoir reprendre la mer et ainsi assurer le quotidien de leur famille.
Autre travaux réalisés dans la région de Sigli : la réparation de deux routes et d’un pont, la finalisation d’une infrastructure portuaire et l’installation d’une usine de pierres artificielles, bientôt opérationnelle. Sur les 3 collèges et 2 écoles prévus pour un total de 2.000 élèves avant la vague, les travaux ont commencé sur le collège de Pasi Rawa et de Blang Paseh.
Sur place, 3 expatriés suivent et coordonnent à plein temps les chantiers :
- Alain N'Guyen, architecte de l’île de la Réunion et chef de mission,
- Jacques Pascal, logisticien, lieutenant-colonel retraité de Brignoles,
- Clémence Zeller, assistante, étudiante en 5ème année d’architecture à Paris.
Ainsi que 6 personnes locales : 1 ingénieur structure, 1 secrétaire et interprète, 1 chauffeur et 3 assistants.
Par ailleurs, plus de 220 ouvriers et autres personnels locaux travaillent sur les chantiers, dont plus d’un tiers sont des sinistrés bénéficiaires de la région.
A Muthur au Sri Lanka, dans le district de Trincomalee, la réhabilitation d’un complexe commercial est achevé à près de 50 % et les travaux pour la reconstruction de 40 wadies - magasins de vente de poissons - vont débuter ce mois-ci. L’édification de 20 maisons est également en cours.
Là-bas, pour suivre et coordonner les opérations sur place, 4 expatriés sont présents :
- Christian Devisme, architecte dans l’Eure et chef de mission,
- Denny Hardi, chef de projet, originaire d’Indonésie,
- Pierre Yves Simon, logisticien originaire de Toulouse,
- Amandine Bouheret, assistante, étudiante en 6è meannée d’architecture à Paris.
Ainsi que 7 personnes locales (ingénieurs et assistants), auxquelles s’ajoutent près de 80 ouvriers employés sur les chantiers dont près de la moitié sont des sinistrés bénéficiaires.
Autre travaux réalisés dans la région de Sigli : la réparation de deux routes et d’un pont, la finalisation d’une infrastructure portuaire et l’installation d’une usine de pierres artificielles, bientôt opérationnelle. Sur les 3 collèges et 2 écoles prévus pour un total de 2.000 élèves avant la vague, les travaux ont commencé sur le collège de Pasi Rawa et de Blang Paseh.
Sur place, 3 expatriés suivent et coordonnent à plein temps les chantiers :
- Alain N'Guyen, architecte de l’île de la Réunion et chef de mission,
- Jacques Pascal, logisticien, lieutenant-colonel retraité de Brignoles,
- Clémence Zeller, assistante, étudiante en 5ème année d’architecture à Paris.
Ainsi que 6 personnes locales : 1 ingénieur structure, 1 secrétaire et interprète, 1 chauffeur et 3 assistants.
Par ailleurs, plus de 220 ouvriers et autres personnels locaux travaillent sur les chantiers, dont plus d’un tiers sont des sinistrés bénéficiaires de la région.
A Muthur au Sri Lanka, dans le district de Trincomalee, la réhabilitation d’un complexe commercial est achevé à près de 50 % et les travaux pour la reconstruction de 40 wadies - magasins de vente de poissons - vont débuter ce mois-ci. L’édification de 20 maisons est également en cours.
Là-bas, pour suivre et coordonner les opérations sur place, 4 expatriés sont présents :
- Christian Devisme, architecte dans l’Eure et chef de mission,
- Denny Hardi, chef de projet, originaire d’Indonésie,
- Pierre Yves Simon, logisticien originaire de Toulouse,
- Amandine Bouheret, assistante, étudiante en 6è meannée d’architecture à Paris.
Ainsi que 7 personnes locales (ingénieurs et assistants), auxquelles s’ajoutent près de 80 ouvriers employés sur les chantiers dont près de la moitié sont des sinistrés bénéficiaires.
