Depuis près d'un an, le rythme de la hausse des prix se ralentit dans l'ancien avec une progression de 6,9% sur les premiers mois de l'année, contre 10% l'année dernière.
Depuis le début de l'année, les prix de l'immobilier ancien, retrouvent plus de sagesse. La période de forte hausse semble terminée. En effet, après une augmentation des prix de 10% dans l'immobilier ancien en 2000, la hausse s'est ralentie sur les premiers mois de 2001 avec une progression des prix de 6,9%. Sur l'année 2001, les experts de la Fédération Nationale de l'Immobilier (FNAIM) prévoient une hausse des prix de 5%.
Une pause relative
Cette "pause relative" sur les prix s'accompagne d'une activité moins
soutenue dans le secteur immobilier ancien avec une progression des
transactions de 1,4% sur le premier trimestre en moyenne annuelle contre plus de 6% l'an dernier, souligne la FNAIM.
Dans la catégorie appartements, les transactions ont fléchi sur le premier trimestre (-3,7% sur les trois premiers mois 2001 par rapport au dernier trimestre 2000) alors que pour les maisons, les échanges sont toujours soutenus (+2,8%).
Pour les professionnels de l'immobilier, le ralentissement de la hausse des prix s'explique essentiellement "par des motifs psychologiques, les acquéreurs refusant de dépasser un certain seuil et ne voulant pas répéter les erreurs du passé et surpayer des appartements".
Le ralentissement est plus sensible sur les prix des maisons alors que les
appartements profitent d'"un phénomène de rareté et les prix ont continué à progresser de 9% sur le premier trimestre", indique la FNAIM.
Fortes différences entre les régions
Les évolutions qui se sont observées au cours du 1er trimestre 2001 sont toujours très contrastées, d'une région à l'autre :
- en dépit d'un recul conjoncturel sensible sur le marché des appartements, l'activité progresse toujours dans l'Ouest. Moins que par le passé maintenant, mais bien au delà du sythme constaté dans l'ensemble (+ 5,1 % sur un an, contre + 1,4 % France entière) ;
- dans le Sud Ouest, dans le Nord et l'Est et dans le Centre et les Alpes, l'activité progresse à peu près au rythme de l'ensemble (respectivement + 2,1 %, + 1,8 % et + 2,1 %). Cela tient aussi à une bonne tenue du marché des maisons, alors que celui des appartements connait un recul parfois sensible (Sud Ouest) ;
- en Ile de France, l'activité stagne. La légère progression constatée sur le marché des maisons ne fait que compenser un nouveau recul sur celui des appartements ;
- enfin, l'activité régresse dans le Sud Est, pour toutes les composantes du marché et à un rythme non négligeable (- 2,3 % sur un an).
Une pause relative
Cette "pause relative" sur les prix s'accompagne d'une activité moins
soutenue dans le secteur immobilier ancien avec une progression des
transactions de 1,4% sur le premier trimestre en moyenne annuelle contre plus de 6% l'an dernier, souligne la FNAIM.
Dans la catégorie appartements, les transactions ont fléchi sur le premier trimestre (-3,7% sur les trois premiers mois 2001 par rapport au dernier trimestre 2000) alors que pour les maisons, les échanges sont toujours soutenus (+2,8%).
Pour les professionnels de l'immobilier, le ralentissement de la hausse des prix s'explique essentiellement "par des motifs psychologiques, les acquéreurs refusant de dépasser un certain seuil et ne voulant pas répéter les erreurs du passé et surpayer des appartements".
Le ralentissement est plus sensible sur les prix des maisons alors que les
appartements profitent d'"un phénomène de rareté et les prix ont continué à progresser de 9% sur le premier trimestre", indique la FNAIM.
Fortes différences entre les régions
Les évolutions qui se sont observées au cours du 1er trimestre 2001 sont toujours très contrastées, d'une région à l'autre :
- en dépit d'un recul conjoncturel sensible sur le marché des appartements, l'activité progresse toujours dans l'Ouest. Moins que par le passé maintenant, mais bien au delà du sythme constaté dans l'ensemble (+ 5,1 % sur un an, contre + 1,4 % France entière) ;
- dans le Sud Ouest, dans le Nord et l'Est et dans le Centre et les Alpes, l'activité progresse à peu près au rythme de l'ensemble (respectivement + 2,1 %, + 1,8 % et + 2,1 %). Cela tient aussi à une bonne tenue du marché des maisons, alors que celui des appartements connait un recul parfois sensible (Sud Ouest) ;
- en Ile de France, l'activité stagne. La légère progression constatée sur le marché des maisons ne fait que compenser un nouveau recul sur celui des appartements ;
- enfin, l'activité régresse dans le Sud Est, pour toutes les composantes du marché et à un rythme non négligeable (- 2,3 % sur un an).