Alors que le nom de General Electric est très souvent cité parmi les repreneurs éventuels de Legrand, le Pdg du groupe américain a déclaré que cette reprise n'est pas une de ses "principales priorités".
Une offre de reprise sur Legrand, dont Schneider Electric doit se défaire suite au veto de la Commission européenne à la fusion des deux groupes, n'est pas une des "principales priorités" de l'américain General Electric, a affirmé son pdg, Jeffrey Immelt, sur la chaîne de télévision CNBC.
"Nous connaissons bien des entreprises comme Legrand et Schneider mais nous n'avons eu aucune conversation particulière, et cela ne figure pas vraiment sur la liste de mes principales priorités", a-t-il déclaré.
Quelques jours auparavant, une source proche du dossier avait indiqué à l'AFP que "plusieurs groupes avaient déjà manifesté par écrit leur intérêt pour les actifs que nous avions promis de céder pour obtenir l'aval de la Commission à la fusion" Schneider-Legrand, a rappelé la même source. Parmi les candidats à la reprise de ces actifs figuraient alors General Electric et Tyco. La liste s'est depuis allongée avec Siemens.
"Nous connaissons bien des entreprises comme Legrand et Schneider mais nous n'avons eu aucune conversation particulière, et cela ne figure pas vraiment sur la liste de mes principales priorités", a-t-il déclaré.
Quelques jours auparavant, une source proche du dossier avait indiqué à l'AFP que "plusieurs groupes avaient déjà manifesté par écrit leur intérêt pour les actifs que nous avions promis de céder pour obtenir l'aval de la Commission à la fusion" Schneider-Legrand, a rappelé la même source. Parmi les candidats à la reprise de ces actifs figuraient alors General Electric et Tyco. La liste s'est depuis allongée avec Siemens.
