Batiactu : Comment vos bâtiments s'inscrivent-ils dans la ville ?
Gaëlle Péneau :
Ce ne sont pas des ovnis que l'on pose sur le sol comme ça. Ils s'inscrivent dès le début de la réflexion dans un paysage, dans un quartier, une ville, un tissu urbain. On travaille sur la position du soleil, les matériaux, pour voir comment le bâtiment peut s'insérer au mieux dans son environnement. C'est ma vision des choses. Cependant, je pense à un petit théâtre que nous avons réalisé à Cergy-Pontoise qui est un petit "bijou" avec un geste architectural qui se démarque du reste. L'édifice ressemble à une petite couronne dorée en cuivre. Dans ce cas présent, nous avons voulu faire jouer sur l'extension d'un théâtre. Mais, ici le sujet culturel se prêtait à ce genre d'architecture.

 

Batiactu : Qu'attendez-vous de cette carte blanche ?

 

Gaëlle Péneau :
Ce qui est intéressant, c'est la confrontation de son travail avec le public et l'obligation de réfléchir pour donner une expression à son travail.

 


La carte blanche aura lieu le 30 novembre à 18 heures, au siège de la SMA.

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