L'Union européenne vient de condamner quatre spécialistes de l’industrie du verre, dont le français Saint-Gobain, à payer une amende de 486,9 millions d’euros. La raison : une entente illicite sur les prix et les conditions commerciales du verre plat sur le marché européen.
486,9 millions d'euros, tel est le montant de l’amende infligé par l’Union européenne à quatre géants du verre dont le français Saint-Gobain qui devra s’acquitter d’une amende de 133,9 millions d’euros.
Les trois autres groupes sont Guardian (148 millions d'euros d'amende), le britannique Pilkington (140 millions) et le japonais Asahi (65 millions), a précisé la Commission dans un communiqué.
Cette décision résulte d’une entente illicite concernant les prix et les conditions commerciales du verre plat sur le marché européen. Selon la Commission européenne, entre début 2004 et début 2005, les quatre entreprises «sont parvenues à augmenter les prix ou à les stabiliser au moyen d'une série de réunions et d'autres contacts illicites». C’est la Commission qui a découvert ses ententes après avoir ouvert une enquête à ce sujet et effectuer plusieurs visistes dans les entreprises.
De son côté, Saint-Gobain «prend acte» de la décision de Bruxelles mais veut «l'analyser en détail», a indiqué mercredi à l'AFP une porte-parole du groupe.
Les trois autres groupes sont Guardian (148 millions d'euros d'amende), le britannique Pilkington (140 millions) et le japonais Asahi (65 millions), a précisé la Commission dans un communiqué.
Cette décision résulte d’une entente illicite concernant les prix et les conditions commerciales du verre plat sur le marché européen. Selon la Commission européenne, entre début 2004 et début 2005, les quatre entreprises «sont parvenues à augmenter les prix ou à les stabiliser au moyen d'une série de réunions et d'autres contacts illicites». C’est la Commission qui a découvert ses ententes après avoir ouvert une enquête à ce sujet et effectuer plusieurs visistes dans les entreprises.
De son côté, Saint-Gobain «prend acte» de la décision de Bruxelles mais veut «l'analyser en détail», a indiqué mercredi à l'AFP une porte-parole du groupe.
