Un vent de modernité souffle sur le nouveau Centre spirituel et culturel orthodoxe (CSCO) situé sur les quais de la capitale, depuis que le "bulbe" doré et les parements en pierre de Bourgogne ont été posés sur les façades de l'Eglise et des trois autres bâtiments du site. Conçu par Jean-Michel Wilmotte, le projet sera achevé en octobre prochain.
Outre son splendide "bulbe" doré géant - qui sera bientôt rejoint par quatre autres plus petits - le Centre spirituel et culturel orthodoxe (CSCO) de Paris, imaginé par l'architecte français Jean-Michel Wilmotte, se distingue désormais par les façades en pierre de ses bâtiments.
Et pas n'importe quelle pierre ! Les maîtres d'oeuvre (Bouygues Bâtiment Ile-de-France et Wilmotte & Associés) ont ainsi fait appel au savoir-faire inédit de la société Rocamat, spécialiste de la pierre de Bourgogne, qui extrait et travaille, entre autres, les blocs de pierre de Massangis ou de Rocherons-Comblanchien, qui ont été utilisés précisément sur ce projet titanesque. Il faut dire que l'entreprise, créée en 1853, possède de belles références en France et à l'internationa : tour Eiffel, Trocadéro, Grand Palais, Assemblée nationale, Opéra Garnier, Fondation Vuitton, Metropolitan Museum of Art à New York, Université de Stanford, British Museum à Londres et bien d'autres bureaux et hôtels en Asie ou en Amérique du Sud...
Et c'est justement pour parler de ce savoir-faire technique et du travail de la pierre que le CSCO a ouvert ses portes ce mardi 12 juillet 2016.
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