La Cour des comptes vient de mettre à jour les lacunes des infrastructures et des aménagements dAéroport de Paris (ADP), qui arriverait en queue de classement des enquêtes de satisfaction globale des clients. Rapport en détail.
Un rapport publié ces jours-ci par la Cour des comptes remet en cause la qualité de services des aéroports de Roissy Charles de Gaulle, dOrly et du Bourget. Tout en saluant lamélioration financière du groupe, dont le résultat net a retrouvé et même dépassé, à partir de 2003, ses niveaux davant 2001, relate lesechos.fr.
Parmi les points noirs relevés par la Cour des comptes, lon constate «la faiblesse de la signalisation, les difficultés de circulation à lintérieur des terminaux, linsuffisance de linformation donnée aux passagers et la mauvaise gestion des files dattente». Sans compter le problème daccès aux avions. En effet, trop dembarquements se font via des autobus, trop peu nombreux et souvent surchargés. Ainsi, le débarquement ou lembarquement sopérant par passerelles est encore insuffisant.
Selon le site des Echos, les raisons de ces lacunes sont dorigine structurelle : «Le parti pris de ne pas installer de sanitaires dans les espaces de départ ou de réserver peu de place pour les boutiques ont accru les difficultés dexploitation et dentretien des installations».
ADP nest pas le seul à être pointé du doigt, la police aux frontières contrôlée par lEtat ayant vu augmenter de 47% les réclamations à son égard. De même, les sous-traitants ont également leur part de responsabilité, un audit daté de 2006 relevant un fort taux dabsentéisme des personnels de contrôle.
Enfin, même si ce nest pas du ressort dADP, la Cour des comptes a souligné le manque de liaisons express desservant les aéroports en comparaison de leurs homologues internationaux. Rappelons que des négociations ont été lancées, il y a quelques jours, avec Vinci pour une liaison Charles de Gaulle Express (lire).
Parmi les points noirs relevés par la Cour des comptes, lon constate «la faiblesse de la signalisation, les difficultés de circulation à lintérieur des terminaux, linsuffisance de linformation donnée aux passagers et la mauvaise gestion des files dattente». Sans compter le problème daccès aux avions. En effet, trop dembarquements se font via des autobus, trop peu nombreux et souvent surchargés. Ainsi, le débarquement ou lembarquement sopérant par passerelles est encore insuffisant.
Selon le site des Echos, les raisons de ces lacunes sont dorigine structurelle : «Le parti pris de ne pas installer de sanitaires dans les espaces de départ ou de réserver peu de place pour les boutiques ont accru les difficultés dexploitation et dentretien des installations».
ADP nest pas le seul à être pointé du doigt, la police aux frontières contrôlée par lEtat ayant vu augmenter de 47% les réclamations à son égard. De même, les sous-traitants ont également leur part de responsabilité, un audit daté de 2006 relevant un fort taux dabsentéisme des personnels de contrôle.
Enfin, même si ce nest pas du ressort dADP, la Cour des comptes a souligné le manque de liaisons express desservant les aéroports en comparaison de leurs homologues internationaux. Rappelons que des négociations ont été lancées, il y a quelques jours, avec Vinci pour une liaison Charles de Gaulle Express (lire).