Cet indice qui sert de référence aux porfessionnels, notamment lors de la révision des loyers, a progressé en France de 2,76% au troisième trimestre 2003 en "moyenne associée".
Depuis 1995, ce n'est pas directement l'indice d'un trimestre qui est pris en compte par l'Insee pour la révision d'un loyer d'habitation mais la moyenne de l'indice de ce trimestre et des trois précédents.
La moyenne associée (moyenne des quatre derniers trimestres dont celui-ci) utilisée dans la révision des loyers s'est établie à 1.190 points au troisième trimestre 2003, soit 2,76% au-dessus de la valeur correspondante du troisième trimestre 2002.
Cette moyenne avait gagné +2,29% au premier trimestre 2003 et +2,60% au 2ème trimestre 2003.
En données brutes, c'est-à-dire sans calcul de moyenne, l'indice a atteint 1.203 points au troisième trimestre 2003, soit une progression de 2,82% par rapport au troisième trimestre 2002.
L'ICC, qui concerne les bâtiments neufs à usage principal d'habitation non communautaire, permet de fixer le plafond des augmentations annuelles de loyers que peuvent exiger les propriétaires de leurs locataires en cours de bail (hors travaux d'amélioration de l'habitat).
Le principe du calcul consiste, pour chaque opération de construction, à en rapporter le prix de marché à un prix fictif obtenu en valorisant chaque élément de la construction par son prix à une date de référence.
Le calcul est effectué chaque trimestre à partir d'un échantillon représentatif retraçant l'évolution des prix de quelque 6.000 logements neufs.
La moyenne associée (moyenne des quatre derniers trimestres dont celui-ci) utilisée dans la révision des loyers s'est établie à 1.190 points au troisième trimestre 2003, soit 2,76% au-dessus de la valeur correspondante du troisième trimestre 2002.
Cette moyenne avait gagné +2,29% au premier trimestre 2003 et +2,60% au 2ème trimestre 2003.
En données brutes, c'est-à-dire sans calcul de moyenne, l'indice a atteint 1.203 points au troisième trimestre 2003, soit une progression de 2,82% par rapport au troisième trimestre 2002.
L'ICC, qui concerne les bâtiments neufs à usage principal d'habitation non communautaire, permet de fixer le plafond des augmentations annuelles de loyers que peuvent exiger les propriétaires de leurs locataires en cours de bail (hors travaux d'amélioration de l'habitat).
Le principe du calcul consiste, pour chaque opération de construction, à en rapporter le prix de marché à un prix fictif obtenu en valorisant chaque élément de la construction par son prix à une date de référence.
Le calcul est effectué chaque trimestre à partir d'un échantillon représentatif retraçant l'évolution des prix de quelque 6.000 logements neufs.