LÉGISLATIVES 2024. Alors que les programmes de certains d'entre eux ont tendance à les négliger, les professionnels des énergies renouvelables, et particulièrement du solaire, se rappellent au bon souvenir des partis politiques se présentant aux élections législatives anticipées.


Quelles perspectives de développement pour les énergies renouvelables lorsque la nouvelle Assemblée nationale aura été désignée, et le nouveau gouvernement constitué ? La filière se pose la question, étant donné que les programmes de certaines formations politiques laissent planer le doute.

 

 

À l'image de celui du Rassemblement national (RN), qui prévoit d'instaurer un moratoire sur l'éolien, et conditionne la croissance du solaire à la fabrication d'équipements sur le sol français ou européen, ainsi qu'au raccordement de technologies de stockage. La volonté du parti d'extrême-droite de miser totalement sur le nucléaire et l'hydraulique ont donc incité les représentants des ENR à rappeler aux candidats les enjeux de la transition énergétique.

 

"Aucun électron n'est inutile"

 

Du côté du Syndicat des énergies renouvelables (SER), on cite ainsi pêle-mêle
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