Partie civile au procès des HLM de Paris qui s'est ouvert hier, le Syndicat du Logement et de la Consommation (SLC) souhaite un dédommagement des locataires, notamment pour les surcoûts de charges locatives qu'ils ont dû payer.
Représentant des locataires au Conseil d'administration de l'Opac-Paris depuis 1992, le SLC a souligné lundi dans un communiqué avoir été «la seule organisation à dénoncer, dès 1994, les surcoûts» des contrats sur le chauffage et les ascenseurs de l'OPAC, et «à exiger leur résiliation».
Dans ce cadre, le Syndicat évalue le surcoût de ces «contrats abusifs» à «plusieurs dizaines de millions d'euros payés dans les charges locatives».
Le procès sur des malversations financières présumées à l'office HLM de Paris (OPAC), qui auraient servi au financement occulte du RPR, s'est ouvert lundi après-midi devant le tribunal correctionnel de Paris et doit durer jusqu'au 5 avril.
Dans ce cadre, le Syndicat évalue le surcoût de ces «contrats abusifs» à «plusieurs dizaines de millions d'euros payés dans les charges locatives».
Le procès sur des malversations financières présumées à l'office HLM de Paris (OPAC), qui auraient servi au financement occulte du RPR, s'est ouvert lundi après-midi devant le tribunal correctionnel de Paris et doit durer jusqu'au 5 avril.