Après deux années de forte croissance des prix dans le marché de l'immobilier ancien en France, la pause constatée depuis début 2001 s'est confirmée sur les derniers mois. Les agents immobiliers demeurent néanmoins optimistes sur l'évolution du marché.
Selon la FNAIM (Fédération nationale des agents immobiliers), les prix devraient croître d'environ 5 à 6% en 2001, soit moitié moins qu'en 2000. "Cette décélération des prix ne signifie pas un retournement du marché et encore moins une prochaine baisse brutale mais simplement un ajustement", a souligné Philippe Audras, président de la FNAIM cité par l'AFP.
La progression raisonnable des prix s'expliquerait, d'après la FNAIM, par le ralentissement économique ainsi que les échéances électorales. Cependant, l'activité devrait rester bien orientée, compte tenu notamment du faible loyer de l'argent qui pousse à investir.
Enfin, à propos des attentats, le président de la FNAIM a souligné que, dans l'ensemble, le marché n'a pas été perturbé. Seuls les biens immobiliers de luxe connaissent une raréfaction d'acheteurs. Une baisse d'activité surtout perceptible dans le sud-est de la France.
La progression raisonnable des prix s'expliquerait, d'après la FNAIM, par le ralentissement économique ainsi que les échéances électorales. Cependant, l'activité devrait rester bien orientée, compte tenu notamment du faible loyer de l'argent qui pousse à investir.
Enfin, à propos des attentats, le président de la FNAIM a souligné que, dans l'ensemble, le marché n'a pas été perturbé. Seuls les biens immobiliers de luxe connaissent une raréfaction d'acheteurs. Une baisse d'activité surtout perceptible dans le sud-est de la France.