Le ministre algérien de l'Habitat, Mohamed Nadir Hamimid, a annoncé une baisse du prix de référence des logements sociaux, à 14.000 dinars (154 euros) le mètre carré au lieu de 18.000 dinars (198 euros) actuellement. L’objectif : encourager leurs locataires à en devenir propriétaires.
Le gouvernement algérien souhaite encourager l’accession à la propriété en diminuant le prix de référence des logements sociaux à 14.000 dinars (154 euros) le mètre carré au lieu de 18.000 dinars (198 euros) actuellement.
Par cette opération, le gouvernement entend relancer l'opération de cession des logements sociaux mise en place en 2004 et qui n'a pas connu le succès escompté. « Seulement 39.782 dossiers ont été déposés auprès des OPGI (Office public de promotion et de gestion immobilière) pour les 781.372 logments sociaux mis en vente par l'Etat », a précisé le ministre.
Le gouvernement a indiqué que le locataire bénéficierait d'une remise sur les loyers versés depuis la date de la signature du contrat, avec un délai de remboursement de 20 ans. Le locataire bénéficierait également d'une réduction du loyer de 10% en cas de versement immédiat, 7% en cas d'une échéance à 3 ans, et 5% pour 3 à 5 ans.
Le ministre a par ailleurs souligné que le prix des logements sera plus élevé dans les grandes villes qu'en province, et variera, dans les métropoles, entre le centre-ville et les banlieues.
Par cette opération, le gouvernement entend relancer l'opération de cession des logements sociaux mise en place en 2004 et qui n'a pas connu le succès escompté. « Seulement 39.782 dossiers ont été déposés auprès des OPGI (Office public de promotion et de gestion immobilière) pour les 781.372 logments sociaux mis en vente par l'Etat », a précisé le ministre.
Le gouvernement a indiqué que le locataire bénéficierait d'une remise sur les loyers versés depuis la date de la signature du contrat, avec un délai de remboursement de 20 ans. Le locataire bénéficierait également d'une réduction du loyer de 10% en cas de versement immédiat, 7% en cas d'une échéance à 3 ans, et 5% pour 3 à 5 ans.
Le ministre a par ailleurs souligné que le prix des logements sera plus élevé dans les grandes villes qu'en province, et variera, dans les métropoles, entre le centre-ville et les banlieues.
