En juin 2005, les prix de limmobilier en Grande-Bretagne ont progressé de 0,1% seulement par rapport à mai 2005. Sur douze mois, leur rythme de hausse ralentit, selon des chiffres publiés jeudi par la banque Halifax.
Par rapport à juin 2004, la hausse des prix de l'immobilier est tombée à 3,7%, après 5,7% en mai, 7,8% en avril, 9,7% en mars, 12,1% en février et 13,7% en janvier.
«Les prix de l'immobilier sont restés stables au premier semestre», a indiqué Halifax dans un communiqué, en observant que la hausse de juin en glissement annuel est la plus basse depuis mars 2001.
«L'activité immobilière s'est stabilisée après la forte baisse du second semestre 2004, montrant quelques signes d'amélioration régulière dans les dernier mois», remarque l'économiste d'Halifax Martin Ellis. «Le nombre de prêts immobiliers approuvés a augmenté pour la cinquième fois consécutive en mai, et Halifax observe un niveau de vente régulier depuis février», poursuit-il.
«Nous continuons à penser que le marché immobilier va connaître une assez longue période d'activité modérée et de prix accomodants plutôt que de subir une forte correction», a estimé pour sa part Howard Archer, économiste de la société d'études Global Inside.
Selon lui, «les acheteurs vont bénéficier du fait que l'inflation dans l'immobilier tombe en-dessous de la croissance des revenus, tandis que les taux d'intérêt semblent devoir baisser rapidement, si ce n'est aujourd'hui même».
«Cependant, a-t-il estimé, les vendeurs hésiteront sans doute à baisser significativement leurs prix, étant donné que peu d'entre eux sont actuellement obligés de vendre dans l'urgence».
Howard Archer pense cependant «que le risque d'une forte correction augmenterait cependant si l'économie devait ralentir de façon marquée pour une période étendue, et si le chômage commençait à augmenter rapidement».
«Les prix de l'immobilier sont restés stables au premier semestre», a indiqué Halifax dans un communiqué, en observant que la hausse de juin en glissement annuel est la plus basse depuis mars 2001.
«L'activité immobilière s'est stabilisée après la forte baisse du second semestre 2004, montrant quelques signes d'amélioration régulière dans les dernier mois», remarque l'économiste d'Halifax Martin Ellis. «Le nombre de prêts immobiliers approuvés a augmenté pour la cinquième fois consécutive en mai, et Halifax observe un niveau de vente régulier depuis février», poursuit-il.
«Nous continuons à penser que le marché immobilier va connaître une assez longue période d'activité modérée et de prix accomodants plutôt que de subir une forte correction», a estimé pour sa part Howard Archer, économiste de la société d'études Global Inside.
Selon lui, «les acheteurs vont bénéficier du fait que l'inflation dans l'immobilier tombe en-dessous de la croissance des revenus, tandis que les taux d'intérêt semblent devoir baisser rapidement, si ce n'est aujourd'hui même».
«Cependant, a-t-il estimé, les vendeurs hésiteront sans doute à baisser significativement leurs prix, étant donné que peu d'entre eux sont actuellement obligés de vendre dans l'urgence».
Howard Archer pense cependant «que le risque d'une forte correction augmenterait cependant si l'économie devait ralentir de façon marquée pour une période étendue, et si le chômage commençait à augmenter rapidement».