Selon la Chambre des Notaires de la région, les prix ont continué à s'envoler (+ 12,3%) sur les trois premiers mois de l'année. Conséquence directe : les transaction se sont réduites de l'ordre de 2%.
Les notaires, qui tenaient une conférence de presse, ont souligné que l'érosion des ventes n'a pas freiné la hausse des prix qui se poursuit autant dans le neuf que dans l'ancien et s'explique toujours par les facilités de crédits et par une pénurie dans le locatif.
Ils notent toutefois une légère décélération des prix sur le premier trimestre par rapport aux trois derniers mois de 2002 mais indiquent que c'est un phénomène saisonnier. Sur base annuelle la progression reste très vive et significative de plus de 12%, ont-ils ajouté.
Ainsi à Paris, le prix du mètre carré s'inscrit à 3.619 euros soit +12,4% sur un an et à 2.139 euros en grande couronne (+12,3%).
Par rapport aux trois derniers mois de 2002 les prix à Paris ont progressé de 2,4%, après +3,2% au quatrième trimestre par rapport au troisième. En banlieue, la progression des prix est tombée à 2% au premier trimestre 2003 après avoir culminé à 4,1% au troisième trimestre 2002.
Les notaires s'inquiètent de cette hausse continue des prix qui risque à terme de se retourner contre le marché et de décourager de plus en plus de clients.
Malgré la baisse des taux et l'allongement de la durée des prêts, les premiers chiffres de avril et mai montrent une accentuation du fléchissement des ventes (- 3% en Petite Couronne et à Paris et - 4% en Grande Couronne).
Cette baisse s'explique surtout par un recul des transactions dans les appartements anciens.En revanche le neuf continue à afficher "une santé insolente" avec des progressions de vente de +13% jusqu'à +42% selon les départements. Mais les chiffres sont moins significatifs car les lancements de nouveaux programmes sont très réduits depuis plusieurs années.
Dans le neuf la spirale haussière sur les prix s'est poursuivie: +8 à +10% dans les villes des départements proches de Paris et de près du double à Paris, selon les derniers chiffres fournis par la FNPC (fédération nationale des promoteurs constructeurs) pour le premier trimestre.
Ils notent toutefois une légère décélération des prix sur le premier trimestre par rapport aux trois derniers mois de 2002 mais indiquent que c'est un phénomène saisonnier. Sur base annuelle la progression reste très vive et significative de plus de 12%, ont-ils ajouté.
Ainsi à Paris, le prix du mètre carré s'inscrit à 3.619 euros soit +12,4% sur un an et à 2.139 euros en grande couronne (+12,3%).
Par rapport aux trois derniers mois de 2002 les prix à Paris ont progressé de 2,4%, après +3,2% au quatrième trimestre par rapport au troisième. En banlieue, la progression des prix est tombée à 2% au premier trimestre 2003 après avoir culminé à 4,1% au troisième trimestre 2002.
Les notaires s'inquiètent de cette hausse continue des prix qui risque à terme de se retourner contre le marché et de décourager de plus en plus de clients.
Malgré la baisse des taux et l'allongement de la durée des prêts, les premiers chiffres de avril et mai montrent une accentuation du fléchissement des ventes (- 3% en Petite Couronne et à Paris et - 4% en Grande Couronne).
Cette baisse s'explique surtout par un recul des transactions dans les appartements anciens.En revanche le neuf continue à afficher "une santé insolente" avec des progressions de vente de +13% jusqu'à +42% selon les départements. Mais les chiffres sont moins significatifs car les lancements de nouveaux programmes sont très réduits depuis plusieurs années.
Dans le neuf la spirale haussière sur les prix s'est poursuivie: +8 à +10% dans les villes des départements proches de Paris et de près du double à Paris, selon les derniers chiffres fournis par la FNPC (fédération nationale des promoteurs constructeurs) pour le premier trimestre.