La Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) d'Ile-de-France a indiqué mercredi que les prix de l’immobilier en Ile-de-France ont progressé de plus de 4% depuis le mois de janvier 2006.
Lors de l’annonce de l’envolée des prix de l’immobilier en Ile-de-France, le président de la Fnaim Ile-de-France, Marcel Ricard a déclaré avoir constaté « une hausse de plus de 4% depuis le 1er janvier ». Toutefois, la Fédération explique que « pour la première fois, les prix par quartiers et micromarché connaissent une hausse à un chiffre au lieu de deux sur Paris et l'Ile-de-France ».
L'économie française se caractérise par « une hausse du taux de croissance par rapport à 2005, une hausse importante des permis de construire en 2005 et une poursuite de la baisse du taux de chômage », explique la Fnaim d’Ile-de-France.
La Fédération relève également « une légère hausse des taux d'intérêt et des avantages fiscaux nouveaux », et incite sur le fait que « la bulle financière que la Fnaim Paris-Ile-de-France dénonce depuis 3 ans, n'est toujours pas en vue, de même, le retournement du marché n'est pas d'actualité ».
Concernant le deuxième semestre 2005, la Fnaim constate « pour la première fois, un allongement des durées de réalisation des mandats (des agences immobilières, ndlr) en raison de prises de décision des acquéreurs moins rapides ».
« Nous nous dirigeons vraisemblablement, au cours des deux ou trois années à venir, vers un atterrissage en douceur » des prix, conclut Marcel Ricard.
L'économie française se caractérise par « une hausse du taux de croissance par rapport à 2005, une hausse importante des permis de construire en 2005 et une poursuite de la baisse du taux de chômage », explique la Fnaim d’Ile-de-France.
La Fédération relève également « une légère hausse des taux d'intérêt et des avantages fiscaux nouveaux », et incite sur le fait que « la bulle financière que la Fnaim Paris-Ile-de-France dénonce depuis 3 ans, n'est toujours pas en vue, de même, le retournement du marché n'est pas d'actualité ».
Concernant le deuxième semestre 2005, la Fnaim constate « pour la première fois, un allongement des durées de réalisation des mandats (des agences immobilières, ndlr) en raison de prises de décision des acquéreurs moins rapides ».
« Nous nous dirigeons vraisemblablement, au cours des deux ou trois années à venir, vers un atterrissage en douceur » des prix, conclut Marcel Ricard.
