Le pdg de Veolia, Henri Proglio, conteste les accusations de l'association de consommateurs UFC en ce qui concerne les prix de l'eau surfacturés. Il qualifie ces charges d'«assertions totalement infondées» et d'«inepties».
«Le prix de l'eau est totalement transparent, il est fixé par les collectivités locales et pas par nous, il est strictement encadré par des normes contractuelles; le groupe pas plus que ses concurrents n'est en situation lui-même de définir ses propres tarifs», a déclaré Henri Proglio lors du salon Actionaria à Paris.
Cette réaction intervient alors que l'association de consommateurs UFC affirme dans une étude du mois d'octobre que l'eau est surfacturée dans de nombreuses agglomérations françaises et dénonce les «bénéfices faramineux» de Veolia et Suez.
Henri Proglio se défend en rétorquant que «Le prix de l'eau n'a pas augmenté plus que l'inflation depuis, une bonne dizaine d'année, en tout cas concernant l'eau potable».
A noter que le maire de Paris, Bertrand Delanoe a annoncé début novembre qu'il pourrait prendre un opérateur public unique pour gérer la chaîne du cycle de l'eau à Paris. Le pdg de Veolia a donc répondu à cette hypothèse «que se priver de la meilleure entreprise du monde n'est pas une bonne opération pour la ville» avant d'ajouter : «Ce contrat n'est pas essentiel pour le groupe, puisqu'il ne représente que 60 millions d'euros de chiffre d'affaires sur 4 milliards».
Cette réaction intervient alors que l'association de consommateurs UFC affirme dans une étude du mois d'octobre que l'eau est surfacturée dans de nombreuses agglomérations françaises et dénonce les «bénéfices faramineux» de Veolia et Suez.
Henri Proglio se défend en rétorquant que «Le prix de l'eau n'a pas augmenté plus que l'inflation depuis, une bonne dizaine d'année, en tout cas concernant l'eau potable».
A noter que le maire de Paris, Bertrand Delanoe a annoncé début novembre qu'il pourrait prendre un opérateur public unique pour gérer la chaîne du cycle de l'eau à Paris. Le pdg de Veolia a donc répondu à cette hypothèse «que se priver de la meilleure entreprise du monde n'est pas une bonne opération pour la ville» avant d'ajouter : «Ce contrat n'est pas essentiel pour le groupe, puisqu'il ne représente que 60 millions d'euros de chiffre d'affaires sur 4 milliards».