La Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) ?association regroupant 500 collectivités territoriales' s'est élevée mercredi contre l'enquête de l'UFC-Que Choisir publiée fin janvier sur les abus du prix de l'eau dans les villes.
«Les collectivités ne perçoivent qu'une partie du montant des factures d'eau payées par les usagers», déclare la FNCCR, qui regroupe des collectivités et établissements publics de coopération spécialisés dans les services publics d'électricité, de gaz, d'eau et d'assainissement, dans un communiqué. Et de rappeler que «le reste correspond à la TVA, aux redevances des agences de l'eau et à la rémunération de l'opérateur privé. (..). En aucun cas, les collectivités ne peuvent réaliser un profit ou une marge à partir des sommes qui leur reviennent».
La FNCCR relève également «des erreurs manifestes» dans l'enquête de l'UFC-Que Choisir, que ce soit sur la longueur des réseaux, les volumes d'eau vendus, les tarifs ou les attributions réelles de certains syndicats des eaux.
Selon la FNCCR, «il est parfaitement légitime que les associations de consommateurs s'intéressent au prix de l'eau». Mais regrette cependant que les collectivités concernées n'aient pas eu «la possibilité de corriger les erreurs les concernant», avant la publication de l'enquête. Elle plaide ainsi «pour un dialogue constructif avec les associations de consommateurs, annonçant «une initiative dans ce sens» dans les prochains mois.
Rappelons que dans son enquête publiée fin janvier, l'association de consommateurs soulignait que l'eau, dans les grandes villes françaises, était facturée une fois et demie de plus que ce qu'elle coûte et jusqu'à plus de deux fois en Ile-de-France.
La FNCCR relève également «des erreurs manifestes» dans l'enquête de l'UFC-Que Choisir, que ce soit sur la longueur des réseaux, les volumes d'eau vendus, les tarifs ou les attributions réelles de certains syndicats des eaux.
Selon la FNCCR, «il est parfaitement légitime que les associations de consommateurs s'intéressent au prix de l'eau». Mais regrette cependant que les collectivités concernées n'aient pas eu «la possibilité de corriger les erreurs les concernant», avant la publication de l'enquête. Elle plaide ainsi «pour un dialogue constructif avec les associations de consommateurs, annonçant «une initiative dans ce sens» dans les prochains mois.
Rappelons que dans son enquête publiée fin janvier, l'association de consommateurs soulignait que l'eau, dans les grandes villes françaises, était facturée une fois et demie de plus que ce qu'elle coûte et jusqu'à plus de deux fois en Ile-de-France.