Le président du Gabon a défendu lors dune allocution spéciale le projet dexploitation dun grand gisement de fer. Plusieurs ONG avaient critiqué ce projet pour ces nuisances à lenvironnement.
Le président du Gabon Omar Bongo Ondimba a défendu vendredi le projet de mise en exploitation dun grand gisement de fer) Bélinga, au nord est de du pays. Dans une allocution en réponse aux critiques formulées par différentes ONG quant au danger que représenterait ce projet pour lenvironnement, Omar Bongo Ondimba a rappelé que «la prise en compte permanente de la dimension environnement a toujours été une constante de ma politique. Mais si je dois préserver la nature, je dois tout autant assurer le développement du Gabon».
Le projet de mise en exploitation dun grand gisement de fer à Bélinga engendre de grands travaux, tels que la construction dune voie ferrée, dune centrale électrique et dun port en eau profonde. Le gisement de fer de Bélinga, dont les réserves sont estimées à un milliard de tonnes, est lun des derniers gisements de fer inexploité de la planète.
Des ONG gabonaises avaient critiqué limpact de ces travaux sur lenvironnement, notamment la construction dun barrage hydro-électrique sur les chutes du Kangou, situées dans le périmètre du parc national de lIvingo. Le président du Gabon, en rappelant que son pays avait mis en uvre la Convention de Kyoto sur les émissions de gaz à effets de serre, a aussi mis en avant «les aspirations légitimes du peuple gabonais à un minimum de développement et de bien-être».
Le projet de mise en exploitation dun grand gisement de fer à Bélinga engendre de grands travaux, tels que la construction dune voie ferrée, dune centrale électrique et dun port en eau profonde. Le gisement de fer de Bélinga, dont les réserves sont estimées à un milliard de tonnes, est lun des derniers gisements de fer inexploité de la planète.
Des ONG gabonaises avaient critiqué limpact de ces travaux sur lenvironnement, notamment la construction dun barrage hydro-électrique sur les chutes du Kangou, situées dans le périmètre du parc national de lIvingo. Le président du Gabon, en rappelant que son pays avait mis en uvre la Convention de Kyoto sur les émissions de gaz à effets de serre, a aussi mis en avant «les aspirations légitimes du peuple gabonais à un minimum de développement et de bien-être».