Selon un rapport du GAO (Government Accountability Office - bureau de responsabilité du gouvernement américain), l'adaptation des infrastructures d'une vingtaine de grands aéroports américains susceptibles d'accueillir l'avion géant d'Airbus, l'A380, coûtera quelque 927 millions de dollars.
Sur les 927 millions de dollars de frais prévus, 83% seront consacrés à l'agrandissement des pistes de décollage et d'atterrissage, selon le rapport du GAO, le reste étant prévu pour l'aménagement des terminaux et des portes pour pouvoir faire face à l'embarquement ou l'arrivée massive de passagers.
Le rapport a identifié aux Etats-Unis un total de 18 aéroports susceptibles d'ouvrir leurs installations à cet avion géant, et qui devront donc effectuer des modifications afin d'obtenir le feu vert des autorités de l'aviation américaine (FAA) pour que l'A380 puisse y opérer.
Les travaux coûteront le plus cher à l'aéroport de New York JF Kennedy, qui a estimé le montant à payer à 151 millions de dollars, suivi de près par Anchorage en Alaska (120,6 millions - aéroport spécialisé dans le fret aérien), Atlanta en Georgie (98,3 millions) et Miami en Floride (97,5 millions). L'un des deux aéroports de la capitale, celui Washington Dulles, n'a prévu que 10,9 millions de dollars de travaux.
En ce qui concerne la nature des travaux, 77% des coûts prévus pour les pistes et les voix d'accès concernaient le revêtement pour assurer une bonne adhérence de l'appareil, indique encore ce rapport soumis aux élus de la sous-commission des transports. Le GAO note aussi que 60% des coûts prévus pour les travaux d'aménagement n'ont pas encore été engagés. Car la date d'arrivée prévisible de l'A380 n'est pas la même pour tous les aéroports consultés et va de 2007 à 2010, voire au-delà.
Selon le rapport, au 1er mars, 11 aéroports avaient déposé une demande de modification de leurs infrastructures portant sur 68 points différents. Dix points seulement ont été rejetés par la FAA qui statue encore sur 11 autres alors que 47 projets ont été approuvés.
Le rapport a identifié aux Etats-Unis un total de 18 aéroports susceptibles d'ouvrir leurs installations à cet avion géant, et qui devront donc effectuer des modifications afin d'obtenir le feu vert des autorités de l'aviation américaine (FAA) pour que l'A380 puisse y opérer.
Les travaux coûteront le plus cher à l'aéroport de New York JF Kennedy, qui a estimé le montant à payer à 151 millions de dollars, suivi de près par Anchorage en Alaska (120,6 millions - aéroport spécialisé dans le fret aérien), Atlanta en Georgie (98,3 millions) et Miami en Floride (97,5 millions). L'un des deux aéroports de la capitale, celui Washington Dulles, n'a prévu que 10,9 millions de dollars de travaux.
En ce qui concerne la nature des travaux, 77% des coûts prévus pour les pistes et les voix d'accès concernaient le revêtement pour assurer une bonne adhérence de l'appareil, indique encore ce rapport soumis aux élus de la sous-commission des transports. Le GAO note aussi que 60% des coûts prévus pour les travaux d'aménagement n'ont pas encore été engagés. Car la date d'arrivée prévisible de l'A380 n'est pas la même pour tous les aéroports consultés et va de 2007 à 2010, voire au-delà.
Selon le rapport, au 1er mars, 11 aéroports avaient déposé une demande de modification de leurs infrastructures portant sur 68 points différents. Dix points seulement ont été rejetés par la FAA qui statue encore sur 11 autres alors que 47 projets ont été approuvés.
