Le groupe Ciments Français a essuyé une perte de 0,3 million d'euros sur le premier trimestre 2001.
Ciments Français a essuyé une perte sur le premier trimestre 2001 de 0,3 million d'euros, contre un bénéfice de 6,3 millions d'euros pro forma dégagé l'an dernier sur la même période, a indiqué un communiqué du groupe diffusé mercredi 9 mai.
Le groupe explique cette contre-performance par "l'impact négatif de la dévaluation de la livre turque" alors que les Ciments Français enregistraient une progression générale satisfaisante des volumes, des prix et des performances opérationnelles. "En dépit de conditions climatiques particulièrement défavorables, par rapport à celles de l'an dernier en Europe et aux USA, le chiffre d'affaires du Groupe progresse de 8,6% (3,3% à périmètre et taux de change comparables). En effet l'évolution des ventes dans les pays émergents compensent plus que largement cette faiblesse en France, Belgique et Amérique du Nord " précise le comminiqué.
Sur l'année 2001, Ciments Français souligne "maintenir ses perspectives de résultat, sauf dégradation significative de l'environnement économique". En février, la direction du groupe avait indiqué que l'année 2001 "devrait voir une progression modeste du chiffre d'affaires et le résultat devrait avoir une évolution légèrement en hausse".
Ciments Français, filiale de l'italien Italcementi, a enregistré en 2000 un bénéfice net part du groupe en hausse de 0,6% à 178 millions d'euros, contre 177 millions d'euros en 1999. Le chiffre d'affaires a progressé de 11,5% à 2,64 milliards d'euros en 2000, contre 2,37 milliards d'euros l'année précédente.
Dans son communiqué, le groupe indique avoir adopté une nouvelle méthode comptable sur les frais d'entretien depuis le premier semestre 2000. L'an dernier, sur le premier trimestre, cette méthode comptable n'était pas encore appliquée et le résultat net part du groupe publié s'était inscrit sur les trois premiers mois de l'année à 14,6 millions d'euros.
En France, le chiffre d'affaires du premier trimestre 2001 s'est élevé à
269,3 millions d'euros. Il est de 105,5 millions d'euros pour le reste de l'Union Européenne et de 248,6 millions d'euros pour les autres pays.
Le groupe explique cette contre-performance par "l'impact négatif de la dévaluation de la livre turque" alors que les Ciments Français enregistraient une progression générale satisfaisante des volumes, des prix et des performances opérationnelles. "En dépit de conditions climatiques particulièrement défavorables, par rapport à celles de l'an dernier en Europe et aux USA, le chiffre d'affaires du Groupe progresse de 8,6% (3,3% à périmètre et taux de change comparables). En effet l'évolution des ventes dans les pays émergents compensent plus que largement cette faiblesse en France, Belgique et Amérique du Nord " précise le comminiqué.
Sur l'année 2001, Ciments Français souligne "maintenir ses perspectives de résultat, sauf dégradation significative de l'environnement économique". En février, la direction du groupe avait indiqué que l'année 2001 "devrait voir une progression modeste du chiffre d'affaires et le résultat devrait avoir une évolution légèrement en hausse".
Ciments Français, filiale de l'italien Italcementi, a enregistré en 2000 un bénéfice net part du groupe en hausse de 0,6% à 178 millions d'euros, contre 177 millions d'euros en 1999. Le chiffre d'affaires a progressé de 11,5% à 2,64 milliards d'euros en 2000, contre 2,37 milliards d'euros l'année précédente.
Dans son communiqué, le groupe indique avoir adopté une nouvelle méthode comptable sur les frais d'entretien depuis le premier semestre 2000. L'an dernier, sur le premier trimestre, cette méthode comptable n'était pas encore appliquée et le résultat net part du groupe publié s'était inscrit sur les trois premiers mois de l'année à 14,6 millions d'euros.
En France, le chiffre d'affaires du premier trimestre 2001 s'est élevé à
269,3 millions d'euros. Il est de 105,5 millions d'euros pour le reste de l'Union Européenne et de 248,6 millions d'euros pour les autres pays.
