Quant au nom, il fait surtout référence au film américain "Le plus grand cirque du monde" réalisé par Henry Hathaway avec John Wayne. "C'est aussi un clin d'œil à la tradition, mais surtout à des notions de proximité et d'humilité inhérentes à notre action", raconte Daniel Forget, président de l'organisation. Ce dernier, conducteur de métro de profession, n'était pas prédestiné à se lancer dans une telle aventure, mais la passion fut plus forte que tout. Et se poursuit maintenant depuis 23 ans. Avec un rêve en filigrane : celui d'offrir aux enfants un cirque en dur.
"Ce type de bâtiment est plus écologique que les chapiteaux qu'il faut transporter, chauffer et climatiser", souligne Daniel Forget avec conviction, ajoutant que c'était aussi une manière de laisser une trace dans le temps.