Une étude de Morgan Stanley publiée jeudi, soulignant le retour à une météorologie normale, a fait bondir le titre de l'entreprise EDF. En effet, l'étude explique que le climat moins sec (qu'en 2004 et 2005), les pluies et les neiges abondantes ont permis de remplir les lacs de barrage.
Les analystes de Morgan Stanley ont chiffré l'impact financier : EDF pourrait ainsi augmenter son résultat brut d'exploitation de 400 millions d'euros par an.
Le supplément d'électricité est produit à un coût très faible dans la mesure où la ressource (l'eau) est gratuite et l'outil de production identique. S'agissant de l'hydraulique -9% de l'électricité produite par EDF-, le retour des précipitations mais aussi l'utilisation parcimonieuse par EDF de ses réserves ont permis aux lacs de barrages de retrouver un taux de remplissage légèrement supérieur à la moyenne de ces dix dernières années.
Premier producteur d'hydroélectricité en Europe, EDF s'appuie sur une puissance totale installée en France de 20 gigawatts.
Le supplément d'électricité est produit à un coût très faible dans la mesure où la ressource (l'eau) est gratuite et l'outil de production identique. S'agissant de l'hydraulique -9% de l'électricité produite par EDF-, le retour des précipitations mais aussi l'utilisation parcimonieuse par EDF de ses réserves ont permis aux lacs de barrages de retrouver un taux de remplissage légèrement supérieur à la moyenne de ces dix dernières années.
Premier producteur d'hydroélectricité en Europe, EDF s'appuie sur une puissance totale installée en France de 20 gigawatts.