Samuel Jacquemin travaillant dans son atelier : «j'aime travailler avec mes mains et laisser parler ma créativité»
«Mes clients voulaient une pergola originale en fer forgé. Il a fallu que je crée une structure en acier métallisé démontable pour la transporter de mon atelier à chez eux. J'ai boulonné sur place les différentes parties de la structure»
«Mes clients m'ont donné carte blanche pour la décoration qui reprend grâce aux volutes, les initiales de leur nom de famille, qui est le double «C»
«Je n'avais rien au départ et le sol était sur une pente. Il a donc fallu créer une multitude de trou où on a coulé du béton pour pouvoir mettre à niveau l'ossature en bois qui a réceptionné le plancher de la terrasse. Le challenge du chantier était d'épouser la forme arrondie de la piscine»
«J'ai dû créer un escalier pour une mezzanine d'un loft parisien. J'ai fait un escalier en bois et acier en respectant au maximum l'esprit industriel de l'appartement qui est un ancien garage»
«Sur ce chantier, j'ai dû marier du carrelage avec du parquet tout en essayant de garder un aspect minéral pour être dans l'esprit du loft. Le challenge de ce chantier était de poser 100 m2 de parquet chêne massif sur trois types de supports différents : le ciment, la lambourde, le parquet»
«Ce chantier, j'étais tout seul à le faire. J'ai fabriqué une verrière de 4 mètres de long. Pour pouvoir la transporter, j'ai fait des éléments séparés. J'ai donc opté pour un assemblage vissé au plafond et au muret des différents éléments. Quant à la pose du verre, elle vient après»
«Lors de ce chantier, j'ai eu l'idée de faire un passe plat dans la verrière car j'ai vu que la table à manger se situait juste derrière le muret. J'ai donc crée une sorte de petite fenêtre qui s'ouvre»
Miroir à volutes et noyaux. «Je voulais réaliser un miroir harmonieux. Les spirales (volutes) amènent de la douceur à ma création»
«J'ai réalisé une petite série de création pour un marché de noël dans l'Essonne. Ici, on peut voir un photophore suspendue. J'ai incorporé des verres soufflés antiques»
«Ce guéridon est ma pièce d'examen de ferronnerie. J'ai utilisé un mode de fabrication à l'ancienne avec des assemblages : goujon, rivet, embrèvement… la contrainte de ce travail était d'utiliser très peu de soudures»