La porte, présente tout au long de notre vie quotidienne, est un point de passage de l'entrée et de la sortie qui appartient depuis toujours à l'art et à la manière d'habiter. Un conseil : laissez-vous «porter» par cet ouvrage signé Gérard Monnier.
Après «Le mur» et «L'escalier» d'Evelyne Péré-Christin, et «Le toit» de Thierry Paquot, les Editions Alternatives publient dans la collection Lieux-Dits : «La porte, instrument et symbole» (12 Euros ; 120 pages).
Signé Gérard Monnier (texte et dessins), l'ouvrage s'attache à nous faire partager la profonde signification humaine de tout ce que notre histoire et notre culture ont exprimé par cet objet.
Si la porte est d'abord le symbole du chez-soi, elle a aussi une valeur politique et sociale, comme lieu de pouvoir et d'affichage, d'information, de contrôle..., mais aussi économique, juridique, fiscale, militaire, sacrée...
Le livre retrace également l'évolution des techniques, des matériaux et des formes au fil des ans, jusqu'aux techniques actuelles : du franchissement des clôtures, en passant par la porte à tambour jusqu'à la porte coulissante.
On voit enfin comment, du statut d'oeuvre réalisé par l'Homo Faber, la porte devient élément d'architecture, s'efface et se fond dans la construction d'ensemble.
Une cinquantaine de dessins au trait, réalisés par l'auteur, illustrent l'ouvrage. Un glossaire et un recueil d'expressions internationales (norvégien, néerlandais, anglais, islandais, italien, japonais, coréen, persan, portugais), dans lesquelles le mot porte est utilisé, complètent l'ensemble.
Gérard Monnier est docteur ès lettres et professeur émérite. De 1988 à 2003, il a enseigné l'histoire de l'architecture contemporaine à l'Université Paris I, a été professeur à l'Institut d'Histoire du temps présent (IHTP-CNRS), directeur de l'équipe de recherche AVD (Architecture-Ville-Design), il a également fondé Docomomo-France.
Le 16 octobre dernier, le jury du Prix du livre d'architecture de Briey a attribué un Prix spécial à l'ouvrage «Le Corbusier, Les Unités d'habitation», publié aux Editions Belin-Herscher, Paris, 2002.
Signé Gérard Monnier (texte et dessins), l'ouvrage s'attache à nous faire partager la profonde signification humaine de tout ce que notre histoire et notre culture ont exprimé par cet objet.
Si la porte est d'abord le symbole du chez-soi, elle a aussi une valeur politique et sociale, comme lieu de pouvoir et d'affichage, d'information, de contrôle..., mais aussi économique, juridique, fiscale, militaire, sacrée...
Le livre retrace également l'évolution des techniques, des matériaux et des formes au fil des ans, jusqu'aux techniques actuelles : du franchissement des clôtures, en passant par la porte à tambour jusqu'à la porte coulissante.
On voit enfin comment, du statut d'oeuvre réalisé par l'Homo Faber, la porte devient élément d'architecture, s'efface et se fond dans la construction d'ensemble.
Une cinquantaine de dessins au trait, réalisés par l'auteur, illustrent l'ouvrage. Un glossaire et un recueil d'expressions internationales (norvégien, néerlandais, anglais, islandais, italien, japonais, coréen, persan, portugais), dans lesquelles le mot porte est utilisé, complètent l'ensemble.
Gérard Monnier est docteur ès lettres et professeur émérite. De 1988 à 2003, il a enseigné l'histoire de l'architecture contemporaine à l'Université Paris I, a été professeur à l'Institut d'Histoire du temps présent (IHTP-CNRS), directeur de l'équipe de recherche AVD (Architecture-Ville-Design), il a également fondé Docomomo-France.
Le 16 octobre dernier, le jury du Prix du livre d'architecture de Briey a attribué un Prix spécial à l'ouvrage «Le Corbusier, Les Unités d'habitation», publié aux Editions Belin-Herscher, Paris, 2002.
