Des facilités fiscales à la construction de logements, destinées à relancer ce secteur en 2002, ont été annoncées mercredi par le nouveau ministre des Finances, Marek Belka.
Selon le projet gouvernemental, les intérêts des emprunts contractés pour la construction d'un appartement ou d'une maison seront désormais, sous certaines conditions, déductibles des revenus imposables, a précisé le ministre.
Ces nouvelles dispositions doivent remplacer un abattement fiscal forfaitaire pour la construction de logement, supprimé en même temps. Il s'agit de "rendre le marché du bâtiment plus civilisé et de réduire la zone grise dans ce domaine", a affirmé M. Belka.
La semaine dernière, le gouvernement polonais avait décidé de majorer les impôts sur le revenu à travers le gel pour deux ans des barèmes d'imposition pour combler un trou au budget de l'Etat pour 2002.
Le gouvernement avait approuvé par ailleurs la proposition du ministre des Finances d'introduire dès 2002 une taxe forfaitaire de 20% sur les intérêts de l'épargne.
Toutes ces mesures doivent apporter dans les caisses de l'Etat quelque 6 milliards de zlotys (1,64 md EUR), selon M. Belka.
Le nouveau gouvernement s'était engagé à ramener à 40 mds de zlotys (11 mds d'euros, 4,5% du PIB), le déficit budgétaire en 2002, initialement prévu au niveau de 88 mds de zlotys par l'exécutif précédent de droite.
Ces nouvelles dispositions doivent remplacer un abattement fiscal forfaitaire pour la construction de logement, supprimé en même temps. Il s'agit de "rendre le marché du bâtiment plus civilisé et de réduire la zone grise dans ce domaine", a affirmé M. Belka.
La semaine dernière, le gouvernement polonais avait décidé de majorer les impôts sur le revenu à travers le gel pour deux ans des barèmes d'imposition pour combler un trou au budget de l'Etat pour 2002.
Le gouvernement avait approuvé par ailleurs la proposition du ministre des Finances d'introduire dès 2002 une taxe forfaitaire de 20% sur les intérêts de l'épargne.
Toutes ces mesures doivent apporter dans les caisses de l'Etat quelque 6 milliards de zlotys (1,64 md EUR), selon M. Belka.
Le nouveau gouvernement s'était engagé à ramener à 40 mds de zlotys (11 mds d'euros, 4,5% du PIB), le déficit budgétaire en 2002, initialement prévu au niveau de 88 mds de zlotys par l'exécutif précédent de droite.
