Suite aux propositions de la Commission européenne en matière de permis de polluer dans le domaine de lacier, les acteurs se disent inquiets à propos de la compétitivité et des emplois de leur secteur.
Les acteurs (salariés et fédération patronale) de lacier ont déclaré dans un communiqué vouloir «protéger la compétitivité internationale du secteur européen de l'acier et des plus de 370.000 emplois».
Cette déclaration fait suite à des propositions de la Commission européenne en matière de permis de polluer. En effet, la commission envisage à partir de 2013 de faire payer les industries les plus polluantes. Faute d'accord international pour réduire les émissions de CO2, Bruxelles a évoqué l'attribution de «jusqu'à 100%» de quotas gratuits à certaines industries, sans les identifier. Cest justement ce que réclame les cateurs du secteur «une identification immédiate» de ces industries, la certitude de l'octroi de 100% de quotas gratuits, ou encore des compensations pour les surcoûts dus aux quotas répercutés sur les industries énergivores par les producteurs d'électricité. La fédération patronale craint une augmentation des coûts de 10% à 20% par tonne d'acier et craint par conséquent de subir de plein fouet la concurrence des pays hors Union européenne.
Pour rappel, un plan daction a été présenté en janvier par la Commission européenne pour atteindre la réduction de gaz à effet de serre de l'UE de 20% comparé à leur niveau de 1990. Un accord pourrait être trouvé dici la fin de lannée.
Cette déclaration fait suite à des propositions de la Commission européenne en matière de permis de polluer. En effet, la commission envisage à partir de 2013 de faire payer les industries les plus polluantes. Faute d'accord international pour réduire les émissions de CO2, Bruxelles a évoqué l'attribution de «jusqu'à 100%» de quotas gratuits à certaines industries, sans les identifier. Cest justement ce que réclame les cateurs du secteur «une identification immédiate» de ces industries, la certitude de l'octroi de 100% de quotas gratuits, ou encore des compensations pour les surcoûts dus aux quotas répercutés sur les industries énergivores par les producteurs d'électricité. La fédération patronale craint une augmentation des coûts de 10% à 20% par tonne d'acier et craint par conséquent de subir de plein fouet la concurrence des pays hors Union européenne.
Pour rappel, un plan daction a été présenté en janvier par la Commission européenne pour atteindre la réduction de gaz à effet de serre de l'UE de 20% comparé à leur niveau de 1990. Un accord pourrait être trouvé dici la fin de lannée.